milhocasa

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ConSerto é construí­do em torno da reprogramação de um Kernel de código aberto, uma sala de programação ocupada por webcams e microfones abertos para o mundo via streaming (transmissão audiovisual ao vivo) que recombina e libera as idéias discutidas durante a ação. Do mesmo modo, impressoras matriciais em ritmos sincopados imprimem essas sugestões.

A mesma sala é conduzida pelo chamado Pulso Maestro: uma conexão direta de sugestão de ritmos controlada via rede, influindo diretamente nas luzes e sons do espaço, criando uma catarse de “casa viva”, com a qual os músicos, atores, poetas e performers interagem.

de galeno ao homem da cobra

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“Chamanes et psychanalystes”
CLAUDE LÉVI-STRAUSS (1949)
Source: J. Narby et Fr. Huxley, Chamanes au fil du temps, Albin Michel, 2002

L’anthropologue français Claude Lévi-Strauss fit remarquer l’interface entre le chamanisme et la psychanalyse dans un petit article intitulé í« L’efficacité symbolique í». Son analyse se réfí¨re í  la description d’une séance de guérison chamanique chez les Indiens Cuna du Panama. Lévi-Strauss cristallise la différence entre le praticien symboliste et le psychanalyste : ce dernier écoute, tandis que le chamane parle.

La cure consisterait donc í  rendre pensable une situation donnée d’abord en termes affectifs et acceptables pour l’esprit des douleurs que le corps se refuse í  tolérer. Que la mythologie du chaman ne corresponde pas í  une réalité objective n’a pas d’importance : la malade y croit, et elle est membre d’une société qui y croit. Les esprits protecteurs et les esprits malfaisants, les monstres surnaturels et les animaux magiques font partie d’un systí¨me cohérent qui fonde la conception indigí¨ne de l’univers. La malade les accepte, ou, plus exactement, elle ne les a jamais mis en doute. Ce qu’elle n’accepte pas, ce sont des douleurs incohérentes et arbitraires, qui, elles, constituent un élément étranger í  son systí¨me, mais que, par l’appel au mythe, le chaman va replacer dans un ensemble oí¹ tout se tient.

Mais la malade, ayant compris, ne fait pas que se résigner: elle guérit. Et rien de tel ne se produit chez nos malades, quand on leur a expliqué la cause de leurs désordres en invoquant des sécrétions, des microbes ou des virus. On nous accusera peut-être de paradoxe si nous répondons que la raison en est que les microbes existent, et que les monstres n’existent pas. Et cependant, la relation entre microbe et maladie est extérieure í  l’esprit du patient, c’est une relation de cause í  effet ; tandis que la relation entre monstre et maladie est intérieure í  ce même esprit, conscient ou inconscient : c’est une relation de symbole í  chose symbolisée, ou, pour employer le vocabulaire des linguistes, de signifiant í  signifié. Le chaman fournit í  sa malade un langage, dans lequel peuvent s’exprimer immédiatement des états informulés, et autrement informulables. Et c’est le passage í  cette expression verbale (qui permet, en même temps, de vivre sous une forme ordonnée et intelligible une expérience actuelle, mais, sans cela, anarchique et ineffable) qui provoque le déblocage du processus physiologique, c’est-í -dire la réorganisation, dans un sens favorable, de la séquence dont la malade subit le déroulement.

A cet égard, la cure chamanique se place í  moitié entre notre médecine organique et des thérapeutiques psychologiques comme la psychanalyse. Son originalité provient de ce qu’elle applique í  un trouble organique une méthode trí¨s voisine de ces dernií¨res. Comment cela est-il possible ? Une comparaison plus serrée entre chamanisme et psychanalyse (et qui ne comporte, dans notre pensée, aucune intention désobligeante pour celle-ci) permettra de préciser ce point.

Dans les deux cas, on se propose d’amener í  la conscience des conflits et des résistances restés jusqu’alors inconscients, soit en raison de leur refoulement par d’autres forces psychologiques, soit – dans le cas de l’accouchement – í  cause de leur nature propre, qui n’est pas psychique, mais organique, ou même simplement mécanique. Dans les deux cas aussi, les conflits et les résistances se dissolvent, non du fait de la connaissance, réelle ou supposée, que la malade en acquiert progressivement, mais parce que cette connaissance rend possible une expérience spécifique, au cours de laquelle les conflits se réalisent dans un ordre et sur un plan qui permettent leur libre déroulement et conduisent í  leur dénouement. Cette expérience vécue reçoit, en psychanalyse, le nom d’abréaction. On sait qu’elle a pour condition l’intervention non provoquée de l’analyste, qui surgit dans les conflits du malade, par le double mécanisme du transfert, comme un protagoniste de chair et de sang, et vis-í -vis duquel ce dernier peut rétablir et expliciter une situation initiale restée informulée.

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Tous ces caractí¨res se retrouvent dans la cure chamanique. Lí  aussi, il s’agit de susciter une expérience, et, dans la mesure oí¹ cette expérience s’organise, des mécanismes placés en dehors du contrôle du sujet se rí¨glent spontanément pour aboutir í  un fonctionnement ordonné. Le chaman a le même double rôle que le psychanalyste : un premier rôle – d’auditeur pour le psychanalyste, et d’orateur pour le chaman – établit une relation immédiate avec la conscience (et médiate avec l’inconscient) du malade. C’est le rôle de l’incantation proprement dite. Mais le chaman ne fait pas que proférer l’incantation : il en est le héros, puisque c’est lui qui péní¨tre dans les organes menacés í  la tête du bataillon surnaturel des esprits, et qui libí¨re l’âme captive. Dans ce sens, il s’incarne, comme le psychanalyste objet du transfert, pour devenir, grâce aux représentations induites dans l’esprit du malade, le protagoniste réel du conflit que celui-ci expérimente í  mi-chemin entre le monde organique et le monde psychique. Le malade atteint de névrose liquide un mythe individuel en s’opposant í  un psychanalyste réel; l’accouchée indigí¨ne surmonte un désordre organique véritable en s’identifiant í  un chaman mythiquement transposé.

Le parallélisme n’exclut donc pas des différences. On ne s’en étonnera pas, si l’on prête attention au caractí¨re, psychique dans un cas, et organique dans l’autre, du trouble qu’il s’agit de guérir. En fait, la cure chamanique semble être un exact équivalent de la cure psychanalytique, mais avec une inversion de tous les termes. Toutes deux visent í  provoquer une expérience ; et toutes deux y parviennent en reconstituant un mythe que le malade doit vivre, ou revivre. Mais, dans un cas, c’est un mythe individuel que le malade construit í  l’aide d’éléments tirés de son passé ; dans l’autre, c’est un mythe social, que le malade reçoit de l’extérieur, et qui ne correspond pas í  un état personnel ancien. Pour préparer l’abréaction qui devient alors une í« adréaction í», le psychanalyste écoute, tandis que le chaman parle.

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Eye of the Beholder

0ê semana – ADíGIO

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Para quem é oferecido o ConSerto?
ConSerto busca em suas experimentações o diálogo direto com duas categorias de público:

Um mais ativo, o qual de imediato se interessa pelas ações e se propõe a participar presencialmente das jams, performances, curtas e produções em geral. Formadores de opinião, possuem consciência e intenção de ações poéticas. São protagonistas e criadores de um cenário cultural e convergem, de algum modo, com as propostas elaboradas pela Orquestra Organismo. Músicos, atores, artistas, poetas, hackers encontram maneiras de trabalhar com complementariedade de linguagens em um espaço ocupado para criar novos significados seguindo a idéia de código aberto.

Um segundo público interessado prefere agir como observador/contemplador. A ele é dada a oportunidade de protagonizar ações possibilitando a compreensão do processo aberto como algo tão ou mais poético que os “produtos culturais” gerados. Por meio de palestras convocadas sob demanda, estas pessoas podem discutir desde as técnicas das ferramentas até os conceitos envolvidos, assim participando e compreendendo a profundidade do trabalho que está sendo realizado. Busca que este público sinta-se cada vez mais seguro de seu papel como agente cultural, í  vontade para interagir.

(Continue a ler em ConSerto).


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Zipper licensed under the GFDL.

Jean Baudrillard, o fotógrafo (27/07/1929 – 06/03/2007)

Entrevista com Jean Baudrillard – 1999

Sheila Leirner – Você está preparando muitas coisas ao mesmo tempo: um grande livro que vai ter a mesma importância de “L’Échange Symbolique et la Mort” de 1976, ou seja, vai amarrar toda a sua produção de lá para cá como um marco; traduz Hí¶lderlin; continua um último “Cool Memories” que começou em 1995 e termina no ano 2000. Qual é o lugar da fotografia no meio de toda essa produção?

Jean Baudrillard.
– Tudo o que eu escrevi sobre a fotografia, a “troca impossí­vel”, o ví­nculo com a imagem e o virtual, etc, juntei em vários lugares, como no “O Paroxista Indiferente” e em outros livros, como os de entrevistas”¦

S.L.
– Desde 1991, essa deve ser a quarta conversa que nós fazemos para a mí­dia brasileira. Hoje, porém, nada de paroxista indiferente, guerra do Golfo, ilusão do fim, crimes perfeitos, complô da arte, confusões com a extrema direita. Gostaria que falássemos sobretudo sobre fotografia, sobre a sua fotografia que poucos conhecem. Há quanto tempo você fotografa?

J.B. – Oh!la!la! Já conversamos tudo isso? (Risadas)

Está bem, minha fotografia já tem uma década, mas ela se cristalizou melhor nos últimos dois ou três anos embora seja uma atividade paralela, pois os textos ficam sempre como ponto de fixação. Com a minha escritura eu faço uma coisa predestinada. Com a foto não. Quer dizer, pensando bem, até que sim”¦ Eu não poderia fazer pintura, escrever romances, rodar filmes. Antes eu exerci uma prática de polí­tica universitária e agora exerço algo imaterial, que é a prática da imagem”¦

S.L.
– Imaterial ? Você diz que fotografar não é tomar o mundo como objeto, mas transformá-lo em objeto !

J.B. – Sim. Quero dizer imaterial, porém não para mim. A minha relação é com o objeto, as situações, a luz e a matéria. Trata-se de uma ligação que não é desencarnada, de certa forma é até carnal. A foto parte do mesmo núcleo que a escritura. A matriz é idêntica. No lugar de idéias, imagens.

S.L.
– Antes você não pensava assim. Lembro-me que há alguns anos dizia não estabelecer nenhuma relação entre escrever e fotografar. E que se existia algo em comum era seguir essa coisa que está do outro lado do sujeito, perto do objeto, essa coisa irredutí­vel, que tem uma ausência própria. Você não procurava captar a realidade dos objetos, não queria interpretá-los, decifrá-los”¦

J.B.
– É verdade. Contudo, o que eu busco agora é tomar os objetos em sua literalidade, antes que comecem a “significar”. É um pouco como a linguagem poética que consegue existir antes de adquirir um sentido. Quando você escreve teoria, é difí­cil chegar lá pois o discurso tem sempre um significado. Mas í s vezes você entra numa linguagem quase poética, mesmo na teoria”¦

S.L.
– A fotografia não seria para você uma espécie de “prova prática”, uma demonstração de tudo aquilo que você propõe em sua teoria?

J.B. – Não ! Isso não ! Demonstração não ! Não tenho nada a demonstrar.

S.L.
– Uma prática dessa teoria ?

J.B. – Uma prática sim. Mas ela não é radical, pois se fosse não deveria nem mesmo ser estética. Eu próprio lastimo, mas acho as minhas fotos belas demais ! (Risadas). Tanto é que as melhores não são belas, as “melhores são as piores”, como se diz. Porém, a meu ver, ali é praticamente impossí­vel chegar a alguma coisa que seja tão radical quanto as idéias que estão na cultura. O radicalismo da fotografia não está na idéia, está na literalidade. Nela, trata-se de encontrar um puro modo de aparição, enquanto que as idéias e a escritura constituem um modo de composição.

S.L. – Se na sua fotografia existe a tentativa de encontrar um puro modo de aparição, a escolha do sujeito não deveria importar. Porém, se “os objetos esperam que você os tome”, “que você os viole ‘sur place'”, como você diz, então porque só os objetos belos pedem essa violação? Porque as suas fotos nunca saem feias?

J.B.
– Para mim não tem belo ou feio, mas eu também não vou pegar os objetos só porque eles são feios. Essa é a estética atual da feiúra, e eu não vou cair nela”¦ O que existe, e isso é importante, preste atenção, é a conjunção entre os objetos e uma finalidade técnica. Chegar í  que a captação se faça quase como uma escrita automática. Agora, há uma escolha dos objetos, é claro”¦

S.L. – Uma escolha estética”¦

J.B. – Sim. Senão eu ficaria só fotografando aquela janela em frente da minha.

S.L.
– Então existe um desejo seu. Não são os objetos que escolhem você, não são eles ” o sonham”, não “é o mundo que lhe reflete”, como você diz.

J.B. – Na verdade essa não é realmente uma escolha estética, é algo baseado na singularidade da imagem, da luz. Eu não sou a favor de fotografar tudo e qualquer coisa. Hoje em dia com a técnica de que se dispõe pode-se fazer ótimas fotos com o que se quiser. Eu não possuo talento técnico, procuro efetivamente algo de singular, um pouco como o “punctum” que Roland Barthes descreve.

S.L.
– O “punctum” ou pontuação é a palavra que designa uma picada, uma marca, algo que vem ferir ou pungir o olhar. Os objetos que você escolhe talvez possuam para você esse “punctum”, mas o resultado de suas fotos é quase sempre indefectivelmente plástico.

J.B. – Você pode pegar objetos que já são estetizados, que são remarcáveis por sua própria qualidade estética. Ou você pode lhes impor uma estética, o que fazem hoje os fotógrafos. No meu caso, trata-se de escolher algo excepcional, porém não por meio de uma forma estética. É o objeto que me acena.

S.L. – Será que você fala de Barthes nesse ensaio “A Câmara Clara”, porque ele distingue a fotografia da arte fotográfica; e você, no fundo, rejeita a sua fotografia como arte ?

J.B.
– Exatamente. Existem grandes fotógrafos, belas fotos que fazem parte da imensa maioria da arte fotográfica. Aqui não se trata de arte. Eu não sou um artista.

S.L.
– Sempre a mesma história !

J.B.
– Então não vale a pena repetir (Risadas).

S.L. – Você sempre diz que não é artista, mas toma os objetos em sua literalidade, em seu “punctum” que você descobre com a sua pura sensibilidade, e, como os poetas, tenta fazê-los existir antes que adquiram um sentido. Você sabe bem que a arte não é apenas uma questão de estética e a arte conceitual está aí­ para provar isso. Pois que só pensa pelos contrários, talvez você seja um artista apesar de você, não?

J.B.
– As vezes essa é a melhor maneira de sê-lo (Risadas)! Mas, veja bem, como você diz, o livro de Barthes não é um livro de fotógrafo. Pode ser visto como um livro metafí­sico, de teoria, de um pensador. A foto o interessa tanto quanto o texto. Que prazer e paixão pode-se ter por uma imagem, e não apenas o prazer estético. Não é nem mesmo do ní­vel do julgamento estético, pois o “punctum” está além dele, é uma forma de sedução instantânea. É um malentendido falar de sujeito e objeto nessas histórias. Mas é preciso pensar também que é um mito que nós possamos estar além do julgamento. Evidentemente existe sempre o julgamento, como existe sempre o discurso, como sempre existe uma escolha, uma afinidade”¦ é como nas relações pessoais. Mas não sou um artista. A minha jogada é muito mais da ordem do fatal do que do conceitual ou do estético.

S.L. – Depois a coisa pode entrar na historia da arte”¦

J.B. – Depois a coisa pode entrar na historia da arte, mas é uma outra existência. O “punctum” é uma matriz que escapa í  toda categoria institucional enquanto ele existe, depois ele cai no mundo, na mundaneidade estética, e ninguém mais é responsável. Mas eu acho que existe um verdadeiro segredo onde as coisas aparecem e se produzem sozinhas, possuem uma forma de poder e de ilusão. A questão que atravessa o livro de Barthes é “onde está a realidade?”. O que você busca, por meio da imagem, é por em jogo essa realidade e verificar, paradoxalmente, que o mundo não é real. Há uma ilusão fundamental que é preciso conseguir captar. Depois, bem, a realidade existe também. Ela existe mas, sou agnóstico, não acredito nela.

S.L.
– Porque não ?

J.B. – Se a realidade existe a gente não precisa acreditar nela. Pois se acreditarmos, ela torna-se um objeto de credo. E se for um credo, então deixa de ser uma realidade objetiva. Se ela é uma realidade objetiva, não precisa que nós acreditemos nela pois é objetiva. Porém, se você acreditar nela, ao contrário, você não a estará honrando como uma objetividade e ela passa a não existir mais. É como Deus, você entende? Se você começa a acreditar nele, ele não existe mais enquanto Deus. Torna-se um objeto de credo. E isso não O honra muito, pois na sua Existência Ele não tem nenhuma necessidade que as pessoas acreditem Nele. A única chance de a realidade existir é nós não acreditarmos nela”¦

S.L. – O fato é que vivemos sob um sistema de valores realistas. Veja o caso de Henri Cartier-Bresson, por exemplo. Há alguns anos, na conversa que tivemos para o Caderno 2, ele declarou que a fotografia é um pequeno “métier” e que o seu processo não o interessa, pois o que lhe importa é a vida e o meio imediato de transcrevê-la. O que você pensa disso?

J.B. – Eu só o encontrei umas duas ou três vezes. Ele tem consciência do seu gênio? É ansioso?

S.L. – Ele é terrivelmente mau-humorado. Não tem consciência disso como fotógrafo, mas tem ansiedade e pensa que possui gênio como pintor e desenhista, que é onde não possui gênio nenhum.

J.B.
– (Risadas) Cartier-Bresson é uma lenda, um mito. Mas a sua fotografia não é a que mais me toca. É uma espécie de arte poético-realista de uma certa época”¦ uma bonita época que aliás teve o seu apogeu no cinema, mas não sei”¦ essa foto não é exatamente especí­fica, ela é mais ou menos bela, mais ou menos bem sucedida, anedótica, descreve uma sociedade. É humanista, conta uma história, faz uma narrativa um pouco retrô. E parte do seu sucesso enorme é que se trata de um retrô.

S.L. – É que nós vivemos em termos de nostalgia estética”¦

J.B.
– É. Mas estamos cheios de ver isso! Estamos cheios de ver esses dois meninos segurando esses dois litros de vinho, essas “obras-primas” ! (Risadas) Que, a meu ver não são nada grandiosas.

S.L.
– Você pensa a mesma coisa de Sebastião Salgado?

J.B. – Não. Ele é admirável se quisermos, mas suscita o problema do voyeurismo sóciopolí­tico. A sua fotografia trata do humanismo da miserabilidade. Tudo isso me provoca um problema quase moral que não tenho vontade de resolver. É a foto-testemunho sobre a qual escrevi também algumas páginas. E aqui igualmente é preciso voltar a Barthes, pois o testemunho é o fim da fotografia. Ele inscreve uma idéia, uma verdade, ele não fotografa o que é, mas o que não deveria ser. Isso é uma posição moral de denegação. Se esta é uma foto moralizante, em relação í  própria imagem ela é um contra-senso. Seria preciso que a imagem pudesse estar lá por sua especificidade e não curto-circuitada por uma idéia moralista, histórica”¦

S.L. – É uma imagem narrativa de quem, ao contrário de você, não é nada agnóstico com relação í  realidade.

J.B. – É uma imagem usurpada. Há um abuso de imagem. Ela serve para exprimir algo, então é avassalada, não é imagem enquanto tal. Pode ser bela, mas é uma mistura de verdade, testemunho, moral e estética. Isso são valores que não me interessam. É a forma que conta. De todo modo, as fotos de Salgado são admiráveis pois tem uma bela composição, são esteticamente excelentes. São mundanas, no sentido em que a miséria do mundo também é mundana. Não devemos falar isso de forma demasiadamente brutal, senão nos tornamos cí­nicos, mas é preciso dizê-lo”¦

S.L. – Voltando a Cartier-Bresson, ele diz também que pode-se fazer qualquer coisa com uma máquina fotográfica, que só é difí­cil descascar uma batata com ela”¦

J.B. – (Risadas) Ele diz isso? Ele é engraçado ! Isso é verdade.

S.L. – Ele afirma ainda que todos são fotógrafos, que há tantos fotógrafos no mundo quanto aparelhos. Você concorda?

J.B. – Sim. Dá para ir ainda mais longe: dos livros sobre fotografia, há também o de Wilheim Flusser, nosso falecido amigo em comum que você convidou para as suas bienais. Flusser é bem mais radical que Cartier-Bresson. Ele diz que o fotógrafo não é senão o operador das possibilidades técnicas da máquina. É um pouco a reedição da fórmula Mac Luhan, “o meio é a mensagem”. Essa teoria é justa.

S.L. – Pensando bem, não ficou na lembrança muita coisa importante escrita sobre a fotografia. Tem você, Barthes, Susan Sontag, Flusser”¦

J.B. – É verdade. Mas você sabia que existe um texto fundamental de Italo Calvino sobre a fotografia que ninguém conhece, que se chama “A aventura de um fotógrafo” e que está num livro que se chama “Aventuras” ? Extraordinário ! Nem é preciso mais escrever sobre a fotografia pois tudo está lá. São dez páginas onde ele conta a história de alguém em seu processo de se tornar um fotógrafo. Esse personagem fotografa obsessivamente a sua amante em todas as posições, ela se cansa, o abandona, e ele começa a fotografar todos os objetos que estão lá no mesmo espaço. Contenta-se em fotografar eternamente tudo, e a história termina num delí­rio”¦

S.L. – Esse paroxismo o seduz ?

J.B. – É verdade que se estivermos possuí­dos pelo demônio da fotografia, a coisa termina num delí­rio, pois uma máquina técnica como essa é delirante em si, lhe dá todas as possibilidades e abre para a loucura!

S.L. – Essa loucura não está relacionada também com o tempo ? Segundo certos fotógrafos, mesmo os mais acadêmicos, existe uma angústia muito grande no delí­rio temporal. Ali, o presente concreto que pede para ser captado acontece numa fração de segundo, o que é desagradável e maravilhoso simultaneamente.

J.B.
– É essa a diferença entre a fotografia e uma atividade estética como o desenho, por exemplo. O “punctum” não está apenas na idéia, está também no tempo. Quer dizer, existe um momento irreversí­vel, imediatamente terminado e os fotógrafos têm razão.

S.L. – Muito embora você esteja no sentido inverso dos fotógrafos acadêmicos, que partem desse “instantâneo”, que é o “punctum” no tempo, para fazer uma obra pictórica e linear, que é oposta a ele”¦

J.B. – Sem dúvida. Para mim a fotografia não acontece senão sob a base da desaparição da vontade estética, apenas como objeto puro”¦

S.L. – Aí­ entra a questão da ficção. Uma vez que você toma o “objeto puro” como personagem “em via de aparição” num mundo em cuja realidade não acredita, você está criando uma ficção para que ele exista. Um cenário artificial, composto por meio da fotografia, para abrigar a sua existência. Isso me remete ao trabalho de fotógrafos como Miguel Rio Branco ou Cindy Sherman, que, sem serem acadêmicos, certamente partem da estética e da subjetividade para chegar í  narração pictórica, í s vezes barroca, dessa realidade.

J.B. – Sim, mas isso é performance ! Nesse momento há um ciclo de atividades que é a construção de coisas e em seguida a representação delas. Eu não vejo onde está o momento original da foto lá dentro. Não é regra geral, mas se a foto consegue apagar o trabalho, fazer uma elipse sobre a construção e a demonstração do objeto, então ela volta a ser fotografia pura e simples. Eu não faço trucagem. Sempre existe um mergulho, uma escolha de luz, uma mis-en-scí¨ne subjetiva, mas eu os separo daquilo que vem de fora, eu mesmo venho de fora”¦ E acontece um encontro entre nós dois. Ao contrário de Rio Branco, não há nada de barroco no meu trabalho.

S.L. – Como é que você trabalha ?

J.B. – O meu método não tem nada a ver com o desses ficcionistas, mas também não tem relação com o de Cartier-Bresson. Eu tiro uma quantidade enorme de fotos e depois jogo fora o que não gosto. Quando fotografo, não controlo a situação e não quero controlá-la. Aí­ é um exercí­cio completamente diferente da escritura. Gosto desse sentido aleatório da fotografia. Mas o importante é saber fazer a elipse. Toda a força da linguagem está nela.

S.L. – E se você tivesse que escolher um fotógrafo com quem sentisse uma afinidade ?

J.B. – Eu escolheria Luigi Ghirri ou Wim Wenders. Temos em comum não fotografar seres humanos. São universos hiper-realistas interessantes, mesmo que tenham se tornado um pouco estereotipados.

S.L. – Você não tem medo de também criar estereótipos com as suas fotos?

J.B.
– Não! Não! Não vejo nada de comum entre minhas fotos. Estão todas numa espécie de desordem de cenas, objetos e ninguém jamais conseguiu encontrar um tema. Isso me deixa muito feliz! Não há personagens, rostos, sociologia, história, nada. Fiz a elipse máxima da coisa”¦ a ponto de me perguntar onde está a realidade lá dentro.

S.L. – Existe uma imagem difí­cil de esquecer que você inventou para a proliferação das obras de arte. Você disse que elas crescem como cogumelos cobrindo o mundo. Não fica assustado em pensar que as suas fotos e os seus textos se proliferam também?

J.B. – (Risadas) Sim, sim. Isso me incomoda. É porisso que eu pratico a “arte da desaparição”, ou seja, a arte de dosar homeopaticamente a existência dos objetos dos quais eliminei as minhas próprias pegadas. Quer dizer, você dá ao mundo objetos sublimes no sentido literal, que não pretendem nada, despojados ao máximo, e que são objetos de aparição/desaparição. Não são produzidos, construí­dos, não pertencem í s instituições em termos de significação, sentido, etc. Pratico uma arte de ilusionista, não sou produtor, criador ou artista. Tudo isso é uma superestrutura completamente paranóica. Por meio da elipse eu reduzo a realidade atravancada a tal ponto que chego í  forma mí­nima. É a forma mais intensa, pois não tem uma existência representativa.

S.L. – Em que outros lugares encontramos formas parecidas a essas procuradas por você?

J.B. – Na música, por exemplo. Existem músicas que se dissipam. Elas não se impõem, elas se resolvem. Tudo se passa em termos de uma resolução perfeita. Não há resí­duos, como os que encontramos nesse mundo do deteriorável. A música é um objeto que possui a magia de aparecer e desaparecer ao mesmo tempo. É preciso essas duas forças reversí­veis, senão a sua obra fica como uma coisa produzida que atravanca a paisagem e se acumula em estoque. E há equivalentes desses objetos, vazios e ao mesmo tempo presentes, no texto ou na imagem.

S.L. – Sabemos o desgaste que sofreu a palavra revolucionário. No entanto, para terminar, se entendermos por ela a capacidade de mudar o sistema de valores, poderí­amos dizer ainda que as suas estratégias no texto e na imagem são revolucionárias ?

J.B. – Eu não tento mudar o sistema de valores. O que eu pretendo é ficar fora do jogo e inventar uma outra regra para ele. Isso não é revolução, pois infelizmente não existe mais uma vontade polí­tica. Eu me coloco num universo paralelo, onde não há contradição violenta contra o sistema dominante, onde, mesmo que a minha posição o coloque em questão, não há nenhuma chance de revolucioná-lo na sua lógica. Estou na singularidade.

Of Brains & Walnuts

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Brain surgery” (photo by Ilona Angervuo).

Philosophy and the habits of Critical Thinking
Conversation with John Searle

Philosophical Problems

Is it hard to do philosophy?
It’s murder, absolutely. I compare it … if you really want to know how to do it, you get up in the morning, there’s a large brick wall and you run your head against that brick wall. And you keep doing that every day until eventually you make a hole in the wall. That’s what it feels like.

But metaphorically the wall has ceased to exist, right? Using the metaphor that you’re always …

Unfortunately I keep banging the wall. And then once I get one wall battered into shape then I’ve got to work on another one. Now the way it actually works out is that you’re constantly fighting with a whole lot of apparently contradictory ideas, and yet they all seem appealing and you have to find some way to resolve them.

So take an obvious case. We’re all conscious and it’s real. All you do is pinch yourself and you know this is real. How can matter be conscious? You know, what you’ve got in your skull is about a kilogram and a half, three pounds of this gook. It’s about the texture of English oatmeal — it’s slimier. And it’s gray and white. And now how can this three pounds of gook in your skull, how can that have all these thoughts and feelings and anxieties and aspirations? How can all of the variety of our conscious life be produced by this squishy stuff blasting away at the synapses? A hundred billion neurons, glial cells, synapses, how does that produce consciousness? And that’s typical of philosophical problems. On the one had you want to say, well, consciousness couldn’t exist because, you know, how does it fit in with the physical world? On the other hand we all know it does exist, so you have to find some way to resolve that. That’s a typical philosophical problem.

And this has been a major research interest of yours in philosophy.
Well, this one right now is, yes. In my early career I worked on language. My main research was about language and speech. My first two books were about the philosophy of language. But when I was writing those books I kept using mental notions like belief and intention and desire and human action. And I knew some day I’d have to pay off that debt, I’d have to go and write a book about those sorts of things. So I did. I wrote a book called Intentionality. But that left open this whole range of traditional issues in the philosophy of mind. How does the mind work? How does it relate to physical reality? I’ve written several books about those issues. And two things happened. One is, consciousness became a fashionable subject. For the first twenty or thirty years of my career, if you talked about consciousness people thought you’re some kind of mystic or you’re not serious. But that’s changed now. Now it’s a very exciting subject. And the second thing that happened was that cognitive science was created as a new discipline and I was in on that. It was in the late seventies and early eighties that here in Berkeley, and really all over the country, we created this new movement of cognitive science.

As a philosophical issue, what is really exciting about this is that it touches on this whole division between the mind and the body, which is something that philosophy has never really resolved.

That’s why I’m trying to resolve it. What I’m trying to say is we need to get rid of the seventeenth-century categories.

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Getting centred” (photo by BidWiya)

We’ve inherited this vocabulary that makes it look as if mental and physical name different realms. And it’s part of our popular culture, so we sing songs about your body and your soul or we have saying about how your mind is willing but your flesh is weak, and sometimes the other way around, the flesh is willing but the mind is weak. And we have inherited, not only philosophically but in our religious tradition, we’ve inherited the idea that there are two quite distinct realms, a realm of the spiritual and a realm of the physical. And I’m fighting against that. I want to say we live in one realm, it’s got all of these features, and once you see that then the philosophical mind-body problem dissolves. You’re still left with a terrible problem in neurobiology, namely, how does the brain do it, in detail? What are the specific neurotransmitters? What’s the neuronal architecture? But I think the philosophical problem, how is it possible that the mental can be a real part of a world that’s entirely physical, I think that problem I can solve.

And how?
The way I solve it is to get rid of the traditional categories. Forget about Descartes’s categories of res existence and res cogitance, that is, the extended reality of the material and the thinking reality of the mental. Once you get rid of the categories and you ask yourself how it works, then it seems to me there are two principles which, if properly understood (it’s not all that easy to understand them, but if properly understood –) provide you with a solution to the traditional mind-body problem. Those principles are first, all of our mental processes are caused by lower-level neuronal processes in the brain. We assume that it’s at the level of neurons, but that’s for the specialists to settle in the end. Neurons and synapses — maybe you’ve got to go higher, maybe you’ve got to go lower — but some sorts of lower-level processes in the brain, whether it’s clusters of neurons or subneuronal parts or neurons and synapses, their behavior causes all of your mental life. Everything from feeling pains and tickles and itches, pick your favorite, to suffering the angst of post-industrial man under late capitalism, whatever is your favorite.

Or stubbing your toe.
Or stubbing your toe. Whatever is your favorite feeling. Feeling ecstatic at a football game, feeling drunk when you’ve had too much to drink. All of that is caused by variable rates of neuron firings in the brain or some other such neurobiological phenomenon, we don’t know in detail what. Okay, that’s principle number one. Brains cause minds. All of our mental life is causally explained by the behavior of neuronal systems.

The second principle is just as important: the mental reality which is caused by the neurobiological phenomena is not a separate substance that’s squirted out. It isn’t some kind of juice that’s squirted out by the neurons. It’s just the state that the system is in. That is to say, the behavior of the microelements causes a feature of the entire system at a macro level, even though the system is made up entirely of those elements that cause the higher level behavior. Now that’s hard for most people to grasp, that you can accept both that the relation between the brain and the mind is causal, and that the mind is just a feature of the brain. But if you think about it, nature is full of stuff like that.

Look at this glass of water, for example. It’s liquid. Now, liquidity is a real feature, but the liquidity is explained by the behavior of the molecules, that is, the liquid behavior is explained by the behavior of the molecules, even though the liquidity is just a feature of the whole system of molecules. I can’t find a single molecule and say “This one is liquid, this one is wet, I’ll see if I can find you a dry one.” Similarly, I can’t find a single neuron and say “This one is conscious or this one is unconscious.” We’re talking about features of whole systems that are explained by the behavior of the microelements of those systems. So I think the philosophical problem is resolved. That is, I don’t have any worry about the philosophical mind-body problem. But the scientific problem — how exactly does the machinery do it? — that’s still very much up for grabs. And I’m in the middle of that battle as well, even though I’m not a neuroscientist. Okay, there are a whole lot of other philosophical problems left over, book cover but that one I’m not worried about.

In one of your most recent books you talk in passing throughout the book about doing philosophy, that’s my interpretation; but at one point you say “It’s always good to remind ourselves of the facts.” You’ve said this is really exciting, and part of the excitement comes from doing this [philosophical] work at the same time that all these biological discoveries are being made.

That’s right. You see, I think in philosophy especially you have to remind yourself of what you know already. We know that the world is made up of entities that we call particles. They’re not exactly particles but that’s close enough. It’s made up of entities, molecules, atoms, sub-atomic particles. It’s made up of these tiny entities and they’re organized into systems. And these systems have causal relations to other systems. So a planet is a system and a water molecule is a system. A baby is a system. There are all these subsystems. And some of those systems have evolved through biological evolution.

We’re carbon-based systems with a heavy dosage of hydrogen, nitrogen and oxygen. That’s our life. We’ve got a thing about these four elements. And those systems evolve across evolutionary time. We know all of that. Now some of those carbon-based, living systems have evolved neuronal systems. Funny kind of cell, the neuron. It’s a cell like any other, but it’s different anatomically. And some of those neuronal systems cause consciousness. Start there. Now that’s how much we know before the philosopher ever goes to work. Then we go to work on that. We don’t go back and think, well, maybe the real world doesn’t exist. No, that’s not an option. So you have to remind yourself of what you actually know.

At one point you’re trying to explain when we do philosophy. This is in … I can’t remember which book this was in, but you say, “As soon as we are confident that we really have knowledge and understanding in some domain, we stop calling it philosophy and start calling it science. And as soon as we make some definite progress, we think ourselves entitled to call it scientific progress.”
That’s right, yes.

So this world you’re in right now, that’s part of the excitement, right?
That’s right. What happens is this.

Philosophy is, in part, the name for a whole lot of subject matters that we really don’t know how to settle the issues in, where we don’t have established methods for resolving questions. Now for me that’s part of the fun, it’s wide open. You’re not hemmed in, you’re not trapped in a narrow little research program. But a lot of people find that uncomfortable, that you can’t fall back on an established body of philosophical truths. Okay, now you have this wide-open area, but as soon as we can get a question into a precise enough form that it admits of a systematic answer that everybody can see is right, we quit calling it philosophy. We call it science or mathematics or logic. And that’s happened in a whole lot of questions. That happened to the problem of life. So at one time: How can inert matter be alive? That was a philosophical issue. Now it’s very hard for us to remind ourselves how important that was. We can’t recover the intensity with which our great-grandparents fought that question. Now we know how it works. And this, I think, will happen to the problem of consciousness. We will get a way of resolving it as a scientific question. This has a funny result for philosophers, namely, this is why science is always “right” and philosophy is always “wrong,” because as soon as we’re convinced that it’s right we quit calling it philosophy and call it science.

So once you have the method of coming up with answers, it’s time for you to close up shop as a philosopher.

Once you have a method that all the competent researchers in the field, I mean there are always a few cranks, but for the most part that the competent researchers in the field can agree is the right method for resolving this problem, then it ceases to be a philosophical problem and it becomes a problem in logic, or it becomes a problem in biology. So the question, “How many carbon rings are there in serotonin?” (that’s a neurotransmitter) — that’s not a philosophical question. But: “What’s the relation of the mental and the physical?” — that’s still a philosophical question. What’s the cause of cancer? That’s not a philosophical question. But what’s the nature of causation? What is it for one thing to cause another thing anyhow? That’s a philosophical question.

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The birth of a better Day” (photo by a COWsignal from outer space)

(cont.) The Chinese Room Argument

In your work on the mind and the brain you talk about how there is always a turn in an era to a metaphor that is dominant in technology, hence the dominant one now is to say that the mind is like a computer program. And to answer that you’ve come up with the “Chinese Room.” Tell us a little about that.

Well, it’s such a simple argument that I find myself somewhat embarrassed to be constantly repeating it, but you can say it in a couple of seconds. Here’s how it goes.

Whenever somebody gives you a theory of the mind, always try it out on yourself. Always ask, how would it work for me? Now if somebody tells you, “Well, really your mind is just a computer program, so when you understand something, you’re just running the steps in the program,” try it out. Take some area which you don’t understand and imagine you carry out the steps in the computer program. Now, I don’t understand Chinese. I’m hopeless at it. I can’t even tell Chinese writing from Japanese writing. So I imagine that I’m locked in a room with a lot of Chinese symbols (that’s the database) and I’ve got a rule book for shuffling the symbols (that’s the program) and I get Chinese symbols put in the room through a slit, and those are questions put to me in Chinese. And then I look up in the rule book what I’m supposed to do with these symbols and then I give them back symbols and unknown to me, the stuff that comes in are questions and the stuff I give back are answers.

Now, if you imagine that the programmers get good at writing the rule book and I get good at shuffling the symbols, my answers are fine. They look like answers of a native Chinese [speaker]. They ask me questions in Chinese, I answer the questions in Chinese. All the same, I don’t understand a word of Chinese. And the bottom line is, if I don’t understand Chinese on the basis of implementing the computer program for understanding Chinese, then neither does any other digital computer on that basis, because no computer’s got anything that I don’t have. That’s the power of the computer, it just shuffles symbols. It just manipulates symbols. So I am a computer for understanding Chinese, but I don’t understand a word of Chinese.

You can see this point if you contrast Searle in Chinese with Searle in English. If they ask me questions in English and I give answers back in English, then my answers will be as good as a native English speaker, because I am one. And if they gave me questions in Chinese and I give them back answers in Chinese, my answers will be as good as a native Chinese speaker because I’m running the Chinese program. But there’s a huge difference on the inside. On the outside it looks the same. On the inside I understand English and I don’t understand Chinese. In English I am a human being who understands English; in Chinese I’m just a computer. Computers, therefore — and this really is the decisive point — just in virtue of implementing a program, the computer is not guaranteed understanding. It might have understanding for some other reason but just going through the steps of in the formal program is not sufficient for the mind.

And so the computer program, then, has not explained consciousness.
That’s right. Nowhere near. Now, that isn’t to say that computers are useless and we shouldn’t use them. No. Not a bit of it. I use computers every day. I couldn’t do my work without computers. But the computer does a model or a simulation of a process. And a computer simulation of a mind is about like computer simulation of digestion. I don’t know why people make this dumb mistake. You see, if we made a perfect computer simulation of digestion, nobody would think, “Well, let’s run out and buy a pizza and stuff it in the computer.” It’s a model, it’s a picture of digestion. It shows you the formal structure of how it works, it doesn’t actually digest anything! That’s what it is with the things that a computer does for anything. A computer model of what it’s like to fall in love or read a novel or get drunk doesn’t actually fall in love or read a novel or get drunk. It just does a picture or model of that.

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Shell” (photo by the jane).

Being a Philosopher

At one point you say, “We have to begin by approaching the problem naí¯vely. We have to let ourselves be astounded by facts that any sane person would take for granted.” So this sense of wonder and naí¯veté and innocence that you might have is a virtue, in a way.
Yes. I mean that quite literally, and in fact we’ve been exhibiting that just in our discussion. The way that I describe the mind-body problem: you have to allow yourself to be astounded by things that any sane person takes for granted. We’ve got this stuff in our brains, it’s conscious. How the hell can it be conscious? Now that’s the childlike question that you have to ask. When you begin working on a philosophical question you have to be totally naí¯ve. “I’ve got this hole in my face, noise comes out. People find it meaningful. They think it’s true or false or interesting. How can that be? How can just making these noises through my mouth, how can that have all of these remarkable properties?” That’s the naí¯ve stage. Then you have, at some point, to become incredibly sophisticated. You stop being naí¯ve and become immensely knowledgeable, rigorous, and sophisticated. And I’ve never figured out the algorithm for when you stop being dumb and start being smart. But you have to start off very naí¯ve and very dumb. “Oh yes, amazing, how can that be?” Then later on, then you bring in your intellectual apparatus and get it resolved.

But also you have to immerse yourself in the studies, for example, in the case of what’s going on in the mind that science is discovering.

Yes. And the Internet is a disaster, because it means there’s more stuff than ever to read. And the proliferation of good articles — I can’t read all the intelligent attacks on myself. There are just too many! And I can’t read all my e-mail. So the problem is that technology doesn’t give us more time in the day, this is the real problem. And you have to read a lot and I’m sure I don’t read enough. But what I do read I take very seriously.

Now you’ve given us a sense of the domain in which you work, the kinds of problems you work on. What then are the traits that go with doing philosophy well? It sounds like you have to be very patient.

Yes. Well I’m not patient, I know that. I tend to get impatient.

But let me describe some of the traits, I think, that make for a good philosopher. One is you really have to have a kind of openness. You can’t think that you know all the right answers in advance, you’ve got to be willing to be astonished when you go to work on problems. And this has happened to me on a number of occasions. I’ll give one example.

I knew all my life I would some day have to write an article about metaphor: How do metaphors work? And like every American, I’ve been to high school. And like every American, I guess, you think that the stuff you learn in high school must, at some level, be right. In high school they taught us that all metaphors are really similes in disguise. It’s really, when you say “man is a wolf,” you mean “man is like a wolf,” in certain respects. I just assumed that, and then I was astounded to discover that theory doesn’t work. You can’t make that theory work because, well, for a number of reasons it doesn’t work. But that’s an example of how you’ve got to be open. Searle lecturing in the seventies You’ve got to be willing to have your most fundamental beliefs challenged and even refuted. So that’s the first thing.

The second thing is you’ve got to mind your p’s and q’s. You’ve got to make sure that each step follows logically from the earlier steps.

The third thing is, in a way, the hardest of all. You just have to avoid saying things that are obviously false. And you’d be surprised how many famous philosophers say things that are obviously false. I mean, Berkeley says the material world doesn’t exist, it’s all just ideas. A lot of contemporary philosophers say the mind doesn’t really exist, it’s just a computer program or it’s a way we have of looking at things. Consciousness doesn’t really exist, it’s just a certain type of computer program. I would say, if you can proceed rigorously, you have an open mind, and you avoid making obvious mistakes, avoid saying things that are obviously false, well, I don’t guarantee you a successful career in philosophy, but you’re off and running. I mean, you’re doing better than a lot of famous people.

And you have to be argumentative and courageous, right?
Yes, I think it takes a certain amount of courage. If you have a view that you think is right but an awful lot of people don’t think is right, and you publish it and you turn on your e-mail or open the philosophy journals and you find out all these guys think you’re wrong, if you really think you’re right and you really think you have good arguments, you have to have the courage of your convictions. And some people find that difficult. I don’t. I guess my upbringing or my personal style … I don’t mind it if other people disagree with me. I’m sorry that they make these mistakes, but I do what I can to correct them.

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Zombie Holiday Dessert” (photo by Grabthar)

*Conversations with John Searle: video file.
*Conversations with John Searle: audio file.

Move 36. Now itôs your turn.

Brain and Body

Knowledge and will
As discussed in sections knowledge and will, we understand knowledge as a model, or recursive generator of predictions; while will is that agency which selects, or resolves uncertainty, in systemic processes. Knowledge and will are intimately related in the actions of all neural systems: the availability of knowledge acts as an a priori constraint on the range of possible actions; while the will selects a final action from that set.

In our thought and language we distinguish two different classes of elements which we say exist: our beliefs, expressing what we think we know; and our desires or intentions, expressing what we are striving for and intend to do. We can describe the elements of the first class collectively as knowledge, and the elements of the second class as will. They are not isolated from each other. Our goals and even our wishes depend on what we know about our environment. Yet they are not determined by it in a unique way. We clearly distinguish between the range of options we have and the actual act of choosing between them. As an American philosopher noticed, no matter how carefully you examine the schedule of trains, you will not find there an indication as to where you want to go. We think about knowledge as a representation of the world in our mind.

Another way to describe the relation between knowledge and will is as a dichotomy between not-I and I, or between object and subject. The border between them is defined by the phrase “I can”. Indeed, the content of our knowledge is independent of our will in the sense that we cannot change it by simply changing our intentions or preferences. On the contrary, we can change our intentions without any externally observable actions. We call it our will. It is the essence of our “I”.

Source: Principia Cybernetica

Brain in Action


ON SLEEP AND SLEEPLESSNESS
Aristotle (350 BC)

WITH regard to sleep and waking, we must consider what they are:
whether they are peculiar to soul or to body, or common to both; and
if common, to what part of soul or body they appertain: further,
from what cause it arises that they are attributes of animals, and
whether all animals share in them both, or some partake of the one
only, others of the other only, or some partake of neither and some of
both.
Further, in addition to these questions, we must also inquire what
the dream is, and from what cause sleepers sometimes dream, and
sometimes do not; or whether the truth is that sleepers always dream
but do not always remember (their dream); and if this occurs, what its
explanation is.
Again, [we must inquire] whether it is possible or not to foresee
the future (in dreams), and if it be possible, in what manner;
further, whether, supposing it possible, it extends only to things
to be accomplished by the agency of Man, or to those also of which the
cause lies in supra-human agency, and which result from the workings
of Nature, or of Spontaneity.

Measure of the Head


Cuidados com seu pitbull

Uma boa caminhada é um exercí­cio bem gostoso para o cão, deixar ele cheirar e fazer xixí­ faz parte do processo, o passeio deve ser agradável ao cãozinho, importante estar em ordem com a vacina, particularmente aconselho reservar o filhote até completar a carteira de vacinas e só depois apresentar o passeio na rua, pois o fato de cheirar as fezes de animais adultos e/ou doentes pode conter encubadas viroses e até desenvolver no animalzinho com saúde ainda vulnerável.

Que tipo de exercí­cios devo fazer com meu pit bull?
Todos! Corrida e natação são muito interessantes. Outra coisa que eles adoram é o bungle jump, um objeto qualquer no qual eles possam se pendurar pela boca. Isto nada tem a ver com treinamento para rinhas ou aumento da agressividade do cão. Ao contrário. O pit bull é um cão de alto prey drive e o bungle jump é uma boa válvula de descarga.

Mental Curves

What Is the Soul?
Bertrand Russell, 1928.
One of the most painful circumstances of recent advances in science is that each one makes us know less than we thought we did. When I was young we all knew, or thought we knew, that a man consists of a soul and a body; that the body is in time and space, but the soul is in time only. Whether the soul survives death was a matter as to which opinions might differ, but that there is a soul was thought to be indubitable. As for the body, the plain man of course considered its existence self-evident, and so did the man of science, but the philosopher was apt to analyse it away after one fashion or another, reducing it usually to ideas in the mind of the man who had the body and anybody else who happened to notice him. The philosopher, however, was not taken seriously, and science remained comfortably materialistic, even in the hands of quite orthodox scientists.
Nowadays these fine old simplicities are lost: physicists assure us that there is no such thing as matter, and psychologists assure us that there is no such thing as mind. This is an unprecedented occurrence. Who ever heard of a cobbler saying that there was no such thing as boots, or a tailor maintaining that all men are really naked? Yet that would have been no odder than what physicists and certain psychologists have been doing. To begin with the latter, some of them attempt to reduce everything that seems to be mental activity to an activity of the body. There are, however, various difficulties in the way of reducing mental activity to physical activity. I do not think we can yet say with any assurance whether these difficulties are or are not insuperable. What we can say, on the basis of physics itself, is that what we have hitherto called our body is really an elaborate scientific construction not corresponding to any physical reality. The modern would-be materialist thus finds himself in a curious position, for, while he may with a certain degree of success reduce the activities of the mind to those of the body, he cannot explain away the fact that the body itself is merely a convenient concept invented by the mind. We find ourselves thus going round and round in a circle: mind is an emanation of body, and body is an invention of mind. Evidently this cannot be quite right, and we have to look for something that is neither mind nor body, out which both can spring.
Let us begin with the body. The plain man thinks that material objects must certainly exist, since they are evident to the senses. Whatever else may be doubted, it is certain that anything you can bump into must be real; this is the plain man’s metaphysic. This is all very well, but the physicist comes along and shows that you never bump into anything: even when you run your hand along a stone wall, you do not really touch it. When you think you touch a thing, there are certain electrons and protons, forming part of your body, which are attracted and repelled by certain electrons and protons in the thing you think you are touching, but there is no actual contact. The electrons and protons in your body, becoming agitated by nearness to the other electrons and protons are disturbed, and transmit a disturbance along your nerves to the brain; the effect in the brain is what is necessary to your sensation of contact, and by suitable experiments this sensation can be made quite deceptive. The electrons and protons themselves, however, are only crude first approximations, a way of collecting into a bundle either trains of waves or the statistical probabilities of various different kinds of events. Thus matter has become altogether too ghostly to be used as an adequate stick with which to beat the mind. Matter in motion, which used to seem so unquestionable, turns out to be a concept quite inadequate for the needs of physics.
Nevertheless modern science gives no indication whatever of the existence of the soul or mind as an entity; indeed the reasons for disbelieving in it are very much of the same kind as the reasons for disbelieving in matter. Mind and matter were something like the lion and the unicorn fighting for the crown; the end of the battle is not the victory of one or the other, but the discovery that both are only heraldic inventions. The world consists of events, not of things that endure for a long time and have changing properties. Events can be collected into groups by their causal relations. If the causal relations are of one sort, the resulting group of events may be called a physical object, and if the causal relations are of another sort, the resulting group may be called a mind. Any event that occurs inside a man’s head will belong to groups of both kinds;
Well, maybe not any event; to take drastic example, being shot in the head.
considered as belonging to a group of one kind, it is a constituent of his brain, and considered as belonging to a group of the other kind, it is a constituent of his mind.
Thus both mind and matter are merely convenient ways of organizing events. There can be no reason for supposing that either a piece of mind or a piece of matter is immortal. The sun is supposed to be losing matter at the rate of millions of tons a minute. The most essential characteristic of mind is memory, and there is no reason whatever to suppose that the memory associated with a given person survives that person’s death. Indeed there is every reason to think the opposite, for memory is clearly connected with a certain kind of brain structure, and since this structure decays at death, there is every reason to suppose that memory also must cease. Although metaphysical materialism cannot be considered true, yet emotionally the world is pretty much the same as it would be if the materialists were in the right. I think the opponents of materialism have always been actuated by two main desires: the first to prove that the mind is immortal, and the second to prove that the ultimate power in the universe is mental rather than physical. In both these respects, I think the materialists were in the right. Our desires, it is true, have considerable power on the earth’s surface; the greater part of the land on this planet has a quite different aspect from that which it would have if men had not utilized it to extract food and wealth. But our power is very strictly limited. We cannot at present do anything whatever to the sun or moon or even to the interior of the earth, and there is not the faintest reason to suppose that what happens in regions to which our power does not extend has any mental causes. That is to say, to put the matter in a nutshell, there is no reason to think that except on the earth’s surface anything happens because somebody wishes it to happen. And since our power on the earth’s surface is entirely dependent upon the sun, we could hardly realize any of our wishes if the sun grew could. It is of course rash to dogmatize as to what science may achieve in the future. We may learn to prolong human existence longer than now seems possible, but if there is any truth in modern physics, more particularly in the second law of thermodynamics, we cannot hope that the human race will continue for ever. Some people may find this conclusion gloomy, but if we are honest with ourselves, we shall have to admit that what is going to happen many millions of years hence has no very great emotional interest for us here and now. And science, while it diminishes our cosmic pretensions, enormously increases our terrestrial comfort. That is why, in spite of the horror of the theologians, science has on the whole been tolerated.

Phases of History

The universe is a labyrinth made of labyrinths. Each leads to another.
And wherever we cannot go ourselves, we reach with mathematics.
Stanislaw Lem, Fiasco

The Tree of Life

“Ce que cââ?¬â?¢est que penser.
Par le mot de penser, jââ?¬â?¢entends tout ce qui se fait en nous de telle sorte que nous lââ?¬â?¢apercevons immédiatement par nous-mêmes ; cââ?¬â?¢est pourquoi non seulement entendre, vouloir, imaginer, mais aussi sentir est la même chose ici que penser.” Article 9 des Principes de la philosophie.

” Par le nom de pensée, je comprends tout ce qui est tellement en nous que nous en sommes immédiatement connaissants “ Réponses aux secondes objections.

” Il nââ?¬â?¢y a aucune pensée de laquelle, dans le moment quââ?¬â?¢elle est en nous, nous nââ?¬â?¢ayons une actuelle connaissance. “ Réponses aux sixií¨mes objections.
René Descartes

Wheel of the Law

“Trente rayons convergent au moyeu
Mais c’est le vide médian qui fait marcher le char”
Lao Tsé – Tao to king

Solar Man Polar Contrasts Unistate The TransitionPictorial

I want to block some common misunderstandings about “understanding”: In many of these discussions one finds a lot of fancy footwork about the word “understanding.
(…)
I will argue that in the literal sense the programmed computer understands what the car and the adding machine understand, namely, exactly nothing.
(…)
In many cases it is a matter for decision and not a simple matter of fact whether x understands y; and so on.
(…)
My car and my adding machine understand nothing: they are not in that line of business.
(…)
Newell and Simon (1963) write that the kind of cognition they claim for computers is exactly the same as for human beings. I like the straightforwardness of this claim, and it is the sort of claim I will be considering.
(…)
Our tools are extensions of our purposes, and so we find it natural to make metaphorical attributions of intentionality to them; but I take it no philosophical ice is cut by such examples.
(…)
The sense in which an automatic door “understands instructions” from its photoelectric cell is not at all the sense in which I understand English.
(…)
There are clear cases in which “understanding” literally applies and clear cases in which it does not apply; and these two sorts of cases are all I need for this argument.
(…)
To all of these points I want to say: of course, of course. But they have nothing to do with the points at issue.
(…)
We often attribute “understanding” and other cognitive predicates by metaphor and analogy to cars, adding machines, and other artifacts, but nothing is proved by such attributions.
John Searle

The Book of Life

I am the Walrus
(Lennon/McCartney)

I am he as you are he as you are me
and we are all together
See how they run like pigs from a gun
see how they fly
I’m crying
Sitting on a cornflake
Waiting for the van to come
Corporation T-shirt, stupid bloody Tuesday
Man you’ve been a naughty boy
you let your face grow long

I am the eggman
they are the eggmen
I am the walrus
Goo goo g’ joob

Mr. city policeman sitting
pretty little policemen in a row
See how they fly like Lucy in the sky
See how they run
I’m crying
I’m crying, I’m crying
Yellow matter custard
Dripping from a dead dog’s eye
Crabalocker fishwife
Pornographic priestess
Boy, you’ve been a naughty girl
you let your knickers down

I am the eggman
They are the eggmen
I am the walrus
Goo goo g’ joob

Sitting in an English garden
waiting for the sun
If the sun don’t come you get a tan
from standing in the English rain

I am the eggman
They are the eggmen
I am the walrus
Goo goo g’ joob

Expert, texpert choking smokers
don’t you think the joker laughs at you
See how they smile like pigs in a sty
See how they snide
I’m crying
Semolina pilchard
climbing up the Eiffel tower
Elementary penguin singing Hare Krishna
Man, you should have seen them kicking
Edgar Allan Poe

I am the eggman
They are the eggmen
I am the walrus
Goo goo g’ joob
Goo goo g’ joob
Goo goo g’ goo
goo goo g’ joob goo
juba juba juba
juba juba juba
juba juba juba juba
juba juba

The Cross Section

Education is what survives when what has been learned has been forgotten.
(…)
I did not direct my life. I didn’t design it. I never made decisions. Things always came up and made them for me. That’s what life is.
(…)
Society attacks early, when the individual is helpless.
(…)
The real problem is not whether machines think but whether men do.
(…)
We shouldn’t teach great books; we should teach a love of reading.

B. F. Skinner

Plan of the Brain

George Orwell, 1984, Chapter 6
(…)
A shrill trumpet-call had pierced the air. It was the bulletin! Victory! It always meant victory when a trumpet-call preceded the news. A sort of electric drill ran through the cafe. Even the waiters had started and pricked up their ears.

The trumpet-call had let loose an enormous volume of noise. Already an excited voice was gabbling from the telescreen, but even as it started it was almost drowned by a roar of cheering from outside. The news had run round the streets like magic. He could hear just enough of what was issuing from the telescreen to realize that it had all happened, as he had foreseen; a vast seaborne armada had secretly assembled a sudden blow in the enemy’s rear, the white arrow tearing across the tail of the black. Fragments of triumphant phrases pushed themselves through the din: ‘Vast strategic manoeuvre — perfect co-ordination — utter rout — half a million prisoners — complete demoralization — control of the whole of Africa — bring the war within measurable distance of its end victory — greatest victory in human history — victory, victory, victory!’

Under the table Winston’s feet made convulsive movements. He had not stirred from his seat, but in his mind he was running, swiftly running, he was with the crowds outside, cheering himself deaf. He looked up again at the portrait of Big Brother. The colossus that bestrode the world! The rock against which the hordes of Asia dashed themselves in vain! He thought how ten minutes ago — yes, only ten minutes — there had still been equivocation in his heart as he wondered whether the news from the front would be of victory or defeat. Ah, it was more than a Eurasian army that had perished! Much had changed in him since that first day in the Ministry of Love, but the final, indispensable, healing change had never happened, until this moment.

The voice from the telescreen was still pouring forth its tale of prisoners and booty and slaughter, but the shouting outside had died down a little. The waiters were turning back to their work. One of them approached with the gin bottle. Winston, sitting in a blissful dream, paid no attention as his glass was filled up. He was not running or cheering any longer. He was back in the Ministry of Love, with everything forgiven, his soul white as snow. He was in the public dock, confessing everything, implicating everybody. He was walking down the white-tiled corridor, with the feeling of walking in sunlight, and an armed guard at his back. The longhoped-for bullet was entering his brain.

He gazed up at the enormous face. Forty years it had taken him to learn what kind of smile was hidden beneath the dark moustache. O cruel, needless misunderstanding! O stubborn, self-willed exile from the loving breast! Two gin-scented tears trickled down the sides of his nose.

But it was all right, everything was all right, the struggle was finished.

He had won the victory over himself.

He loved Big Brother.

(All images above by Dr. Alesha Sivartha, The Book of Life)

Metareciclagem

“Fusion is Easy!”

The Homemade Amateur
Nuclear Fusion Reactor


Are you mad?!

People usually cringe when I mention the words “amateur” and “fusion” in the same sentence, so allow me to explain. As I mentioned in the “Fusion Methods” section, Inertial Electrostatic Confinement is a fairly simple method used to obtain fusion reactions. Invented in the late 50’s by Philo T. Farnsworth (inventor of the television as we know it today), the “fusor” (as it is sometimes called) uses ordinary vacuum-tube technologies to accelerate and collide nuclei of fusible atoms. Farnsworth’s original fusors were rather complex, but the concept is very simple, and can be adapted to your heart’s desire. THIS IS NOT COLD FUSION!!! It is very hot fusion, requiring temperatures of over 200 million degrees! To see why we can do this without destroying the machine, click here. Fusors are currently sold to qualified users as commercial neutron sources, and used for research in university labs. The idea is not based upon fringe science or new and untested theories. It, along with every other fusion reactor on earth, currently does not break even and produce power!

nodar-node

“Quando és un pastor, tens que saber caminhar com as tuas ovelhas, conhecê-las uma a uma e ser quase um veterinário”
Felipe Quintana, pastor espanhol

“When you are a shepherd, one has to know how to walk with the sheeps, to know them one by one, and to be almost a veterenary.”
Felipe Quintana, spanish shepherd

O MOSTRENGO

O mostrengo que está no fim do mar
Na noite de breu ergueu-se a voar;
A roda da nau voou três vezes,
Voou três vezes a chiar,
E disse: í«Quem é que ousou entrar
Nas minhas cavernas que não desvendo,
Meus tetos negros do fim do mundo?í»
E o homem do leme disse, tremendo:
í«El-Rei D. João Segundo!í»

í«De quem são as velas onde me roço?
De quem as quilhas que vejo e ouço?í»
Disse o mostrengo, e rodou três vezes,
Três vezes rodou imundo e grosso.
í«Quem vem poder o que só eu posso,
Que moro onde nunca ninguém me visse
E escorro os medos do mar sem fundo?í»
E o homem do leme tremeu, e disse:
í«El-Rei D. João Segundo!í»

Três vezes do leme as mãos ergueu,
Três vezes ao leme as reprendeu,
E disse no fim de tremer três vezes:
í«Aqui ao leme sou mais do que eu:
Sou um povo que quer o mar que é teu;
E mais que o mostrengo, que me a alma teme
E roda nas trevas do fim do mundo,
Manda a vontade, que me ata ao leme,
De El-Rei D. João Segundo!í»

Zeitgeist Pulso


ultimo final de semana de maio (30/04-1/05) vem estamos indo pra pontal do sul pra fazer uma gravação ruidopormilimetro+matema+indioseletronicos+orqustraorganismo+
interlux+esqueletocoletivo+purosdados+seilaoqueonometantofazonome

então queria aproveitar pra gente armar de tentar fazer um netpd, e sobretudo testar a idéia que podemos usar com o pessoal de viena que a idéia do “Zeitgeist-pulso”. A idéia é passar um feedback de pulso (de bateria ou qualquer outra fonte que pulse do ritual sonoro) de outra cidade e isto interferir na luz da casa.

pedimos pra galera de São Paulo, Belo Horizonte, Viena, Pipa, Salvador, Curitiba e etc… tentar combinar conosco, para capturarmos algum tipo de pulso remoto e fazermos testes-rituais na casa.

tudo isso pode dar retorno de uso para as intervenções em SP, Espanha, Viena, Novos rituais e etc.

Se este thread avançar, peço pra quem interesse técnico de que isso aconteça que me peça pra entrar na lista de discussão do puredeposito (puredeposito-subscribe@estudiolivre.org ). Na verdade a parte técnica é muito simples, e provavelmente a gente até consiga fazer alguns testes via website mesmo, mas seria legal principalmente o pessoal la em Viena nos enviar um pulso de microfone transformado em pulso/TCP/pd, que deixaremos o esquema pronto pra ser instalado via pure data.

É isso.

Quem quiser ir pra pontal avise. Provavlemente vamos fazer uma reuniaozinha no estudio matema pra combinar esta semana…

Kochen der reinen Daten


(00:52:40) hugo chavez: Tava I, das versucht, jene Klumpen von C und von C++ zu verstehen, gleichzeitig antwortende email, den Film von sehen “, wieviel Senke…”, Teigwaren brennend, erstarrte in der Wanne, zu einem Kollegen im masn pra schauen, um mir mit Arbeit zu helfen, ein livreo der Bibliographie von mestrado im Musik pra zu aligar sich verfangen ich, attemped, um playlist von blo und von naão Verstí¤ndnis zu í¤ndern, weil es nicht funcionaou, Versuchen zum dissimulate, das morgen ich gehe, zu erreichen, um die Sachen einer Fí¤higkeit zu organisieren, die entlasten

(00:52:43) hugo chavez: schlie�Ÿlich

(00:52:48) hugo chavez: dasselbe von immer

(00:52:53) hugo chavez: alles gleichzeitig

(00:52:54) ze dirceu: heheheh

(00:53:00) ze dirceu: Hí¤lfte erst-getragenes Sohn I tou

(00:53:02) hugo chavez: folglich bildete nichts gut

(00:53:06) ze dirceu: Ich beendete zum assitir eine Filmmasse

(00:53:14) ze dirceu: 8 1-/2frauen

(00:53:19) ze dirceu: aber nicht vom felllini

(00:53:31) ze dirceu: eine neue Ehrerbietung, vom peter greenaway

(00:53:35) ze dirceu: lokaço

(00:53:37) ze dirceu: pervers

(00:55:06) hugo chavez: Wimmern arbeitete mein Code

(00:55:09) hugo chavez: Ich glaube nicht

(00:55:22) ze dirceu: ah

(00:55:28) hugo chavez: # schlie�Ÿen Sie < stdlib ein.h >

# schlie�Ÿen Sie < stdio ein.h >

typedef internes tipoelemento;

struct tiponodo {

tipoelemento Wert;

struct tiponodo * Ameise;

struct tiponodo * prox;

};

typedef struct tiponodo * tipolista;

leeres iniclista (tipolista * lista){

* lista=(tipolista)malloc(sizeof(tipolista));

(* lista)->ant=*lista;

(* lista)->prox=*lista;

}

internes vazialista (tipolista lista){

Rückkehr (lista==lista->prox);

}

leeres inserelista (tipoelemento Element, tipolista lista){

Liste->ant->prox=(struct tiponodo *)malloc(sizeof(struct tiponodo));

Liste->ant->prox->ant=lista->ant;

Liste->ant=lista->ant->prox;

Liste->ant->prox=lista;

Liste->ant->valor=elemento;

}

austria-fussball

(00:56:07) hugo chavez: wie [ ist der Film?

(00:56:08) ze dirceu: Ich gehe, meinen Felsen von rosetta zu suchen, bereits komme ich zurück

(00:56:12) ze dirceu: ha

(00:56:25) hugo chavez: theoretisch dieses ist ae einfach

(00:56:32) ze dirceu: es dreht sich um den Tod der Frau eines Millionaire

(00:56:41) ze dirceu: der í¤lteste Sohn kommt an, um zusammen einzubetten es

(00:56:47) hugo chavez: es hat nur das, zum des Kompilators zu überzeugen, den Sie weil einer kennen; > nicht ist ein –

(00:56:54) ze dirceu: übrigens der einzige Sohn

(00:57:06) ze dirceu: für mich scheint die Sprache luftdicht

(00:57:14) hugo chavez: es ist einfach

(00:57:20) hugo chavez: viel einfacher das Portugiese

(00:57:21) ze dirceu: aber schlie�Ÿlich, es kommt an und leitet eine sexuelle Reise von redescoberta mit dem Vater ein

(00:57:23) ze dirceu: Summen

(00:57:25) ze dirceu: e Tupi?

(00:57:33) ze dirceu: e beginnen sie eine Reise von Perversionen

(00:57:49) ze dirceu: sie verwenden das grana vom alten (Millionaire), 8 Frauen kaufen, schlie�Ÿlich 8 Frauen und Strumpf

(00:57:57) ze dirceu: e, zum sie in den Perversionspielen einzuleiten

(00:58:02) ze dirceu: surrealismi

(00:58:04) ze dirceu:

(00:58:08) hugo chavez: Masse

(00:58:09) ze dirceu: ein fellini nochmals besucht

(00:58:17) ze dirceu: voll von den Kasinos von patchinko

(00:58:23) hugo chavez: zum peter greenaway ‘ und zum Fremden

(00:58:25) ze dirceu: wenn es teilweise in Japan überschreitet (offenbar)

(00:58:28) hugo chavez: aber ich habe den, zum vom Tag zu sehen

(00:58:28) ze dirceu: sonderbar

(00:58:32) hugo chavez: mit Schlaf schlafe ich

(00:58:41) ze dirceu: Ich gehe zu ripar es hier,

(00:58:45) ze dirceu: dvd wird ausgeliehen

(00:58:50) ze dirceu: dort Verriegelung vc ein Tag

(00:58:53) hugo chavez: Masse

(00:58:59) ze dirceu: Ich habe Konto im soulseek

(00:59:01) hugo chavez: c sah das email von ev?

(00:59:03) ze dirceu: dort Verriegelung vc für sie

(00:59:05) ze dirceu: nicht

(00:59:09) ze dirceu: wo?

(00:59:12) ze dirceu: in der Liste

(00:59:12) hugo chavez: galera La in Wien Sie wünschend aufregen

(00:59:15) hugo chavez: ja

(00:59:16) ze dirceu: ah, ja

(00:59:17) ze dirceu: Ich sah

(00:59:21) hugo chavez: es ist sehr wild

(00:59:24) ze dirceu: auf den Getrieben

(00:59:30) hugo chavez: die Gesichter also in einem tunning Bumsen

(00:59:35) ze dirceu: wir gehen zu bolar ein surpesa

(00:59:39) hugo chavez: sie hatten Produkteinführung sie von der Küche gebildet

bananas-west-india-smaller

(00:59:43) hugo chavez: zusammentreffend

(00:59:46) ze dirceu: Summen

(00:59:48) hugo chavez: gleichzeitig

(01:00:04) hugo chavez: e ist trabalahando dieses ideia der Nachbarn

(01:00:11) hugo chavez: da�Ÿ sie sehr folgend ist

(01:00:15) hugo chavez: von der Idee von “ihnen hoem”

(01:00:15) ze dirceu: Ich gehe, den Geist der khan gengis hervorzurufen, es in ein bahian cramulhão senken und Wien von neuem umgeben lassen (der Wandmongole)

(01:00:17) hugo chavez: Haupt

(01:00:22) hugo chavez: von der Oberflí¤chenspannung

(01:00:27) ze dirceu: die mogois waren in der Wien Rückkehr haben 800 Jahre nach

(01:00:38) ze dirceu: benachbarte Aufladung, die ich diesbezüglich stí¶re

(01:00:48) hugo chavez: Gesicht sieht den Streit der Liste

(01:00:50) ze dirceu: verweisen Sie von von der oben genannten Wohnung die 5000 Kilometer

(01:00:59) hugo chavez: dieses Sie an sehr Oberflí¤chenspannung zu mir erinnernd

(01:01:01) ze dirceu: e nomadismo x sedentartismo

(01:01:10) hugo chavez: Ich hatte eine interessante Erfahrung mit diesem

(01:01:28) hugo chavez: mit dieser vorgefaÃ?Ÿten Meinung, das Platzfrontseite zu einem Beitrag mit “Auslí¤ndern” beví¶lkeren

(01:01:31) hugo chavez: dieses alteridade

(01:01:36) hugo chavez: “zwischen Preisangabe kennzeichnet”

(01:01:39) ze dirceu: KI das Vienneses hatte die Türken vom Rand verbannt, aber 80 Jahre depiois mozart tava, das gení¤htes Ventilator tute bildet

(01:01:45) hugo chavez: Ich kam in einer Zusammenfassung an

(01:01:54) hugo chavez: esa alteridade dient zum Schauspiel

(01:01:54) ze dirceu: Summen

(01:02:02) hugo chavez: es ist stumpf

(01:02:18) ze dirceu: Ich sehe, daÃ?Ÿ ich nicht Problem mit Auslí¤ndern habe

(01:02:23) ze dirceu: übrigens bin ich teilweise einer

(01:02:28) hugo chavez: irgendein das mí¶glicherweise wenige distancia zwischen ihnen von wem sein distancia zum Gesicht, das Benzin in sein Auto einsetzt

(01:02:54) hugo chavez: aber immer rollt es dieses tendencia

(01:02:56) ze dirceu: von der Tatsache

(01:03:02) hugo chavez: von, wenn mehr sie “barbarous” beurteilt werden

(01:03:07) ze dirceu: von meinem Teil nicht immer

(01:03:08) hugo chavez: symptomatisch ist dieses Mio

(01:03:11) ze dirceu: er ist conflituoso für mich

(01:03:21) hugo chavez: Sie ist er franzí¶sisch?

(01:03:34) ze dirceu: Grube mae ist mein deutscher Vater franzí¶sisch. Ich war in Curitiba geboren

(01:03:43) ze dirceu: Klima plurimo des kulturellen Gesichtspunkts

wien-postal

(01:03:58) hugo chavez: unsere Sie ist er curitibano der Welt dann

(01:03:59) hugo chavez: hahahaha

(01:04:03) ze dirceu: Ich habe nicht Probleme mit brandon und ken. Ich habe mit dorothy stang und mangabeira zum unger

(01:04:06) hugo chavez: praktisch ein emiliano perneta

(01:04:09) hugo chavez: hahahahahahah

passistas

(01:04:10) ze dirceu: Summen

(01:04:15) ze dirceu: emiliano perneta ist sacanagem!

(01:04:17) ze dirceu: rs

(01:04:23) hugo chavez: meine Eltern sind Gauchos

(01:04:33) hugo chavez: Ich finde, daÃ?Ÿ ich wenig von gaúchismo habe

(01:04:41) ze dirceu: bombachas in C++

(01:04:50) hugo chavez: Ich wei�Ÿ nicht

(01:04:57) hugo chavez: Ich finde, da�Ÿ die Gauchos sarkastisch sind

(01:05:02) ze dirceu: aber schlie�Ÿlich

(01:05:12) ze dirceu: es nahm wahr, was es auf ken/ sagtebrandon x stang/zum unger

(01:05:15) hugo chavez: I nã wissen nichts von C++

(01:05:19) ze dirceu: sie sind die unterschiedlichen fenomenos

(01:09:05) hugo chavez: Freiheit, zum das neue Programm der João fetten Person zu beachten basiert auf Esel?

(01:09:09) ze dirceu: es ist!

(01:09:31) ze dirceu: Unglück

(01:09:46) ze dirceu: rothbard las die Phrase von murray

(01:09:52) ze dirceu: da�Ÿ ich in Pfosten des Weizens mich setze, fangen Sie auf

(01:09:56) hugo chavez: Ich finde, da�Ÿ es zu einer Art Freiheit Beton ermangelt

(01:10:00) hugo chavez: gehen und kommen

(01:10:16) ze dirceu: vc kann es nicht gegen das atomistica noch aufgelehnt werden, traurig

(01:10:28) ze dirceu: aber sprechendes metaforicamente, diese Freiheit besteht

(01:10:43) ze dirceu: vc kann es Innere von einer Kette freier sein, wenn wünschen

(01:11:07) hugo chavez: dieses ist viel “ontológico anarquismo”

(01:11:08) ze dirceu: vc manipuliert es nicht seine Partikel, von der Tatsache hat DIESE Freiheit vc nicht

(01:11:16) hugo chavez: pra dient nur pra “zum jungen” Buch des Vender

(01:11:20) ze dirceu: hummm

(01:11:24) ze dirceu: dieses ist gut, hein?

(01:11:26) hugo chavez: I Sie Sprechen von etwas das konkretere

(01:12:03) ze dirceu: lassen Sie uns zu den Auslí¤ndern zurückkommen

(01:12:09) ze dirceu: Ich bezog mich bis das folgende

(01:12:14) hugo chavez: anarcocapitalismo && ||, das vom Recht global gewesen wird

(01:12:40) ze dirceu: tatsí¤chlich mí¶glicherweise erlaubt die Technologie das Arbeiten des anarcocapitalismo

(01:12:55) ze dirceu: aber die Armut mu�Ÿ beseitigt werden, offensichtlich

(01:13:16) ze dirceu: e ist nicht mit chinesischem Diktatur posando des Schutzes des copyright, da�Ÿ wir gehen, dort anzukommen

(01:13:47) ze dirceu: ein Land, zwei Regime, überführen, eine allgemeine Durchführung, Hacker, eine Stulpe

(01:13:56) ze dirceu: issoé Beton

(01:14:27) ze dirceu: übrigens dieses ist concretí­ssimo

(01:14:41) ze dirceu: Chinese mit Ihrem, mein Profil, wenn fodendo für das Bilden exatamete des gleichen cpoisa das wir

(01:14:46) ze dirceu: an diesem Moment

(01:14:51) hugo chavez: Ich glaube nicht vigilança

(01:15:02) hugo chavez: vigilancia

(01:15:07) ze dirceu: von seiten wessen?

(01:15:17) hugo chavez: von irgendeinem Auftrag

(01:15:45) ze dirceu: es sagt dieses für, wem im Gefí¤ngnis ist. noch immer weg zu laufen ist mí¶glich,

(01:15:54) hugo chavez: aber soll es von der Tendenz des Streites in “neues ontológico anarquismo” von heheh fallen

(01:15:58) ze dirceu: noch immer ist er necessario, offenbar

(01:16:02) ze dirceu: Summen

(01:16:05) hugo chavez: sie kaufen mein Buch, garotada!

(01:17:30) ze dirceu: mehr oder weniger, Ich finde den, ohne professoral scheinen zu müssen, es gibt zum Geben und zur Ânderung genug. mehr von dem als in einem milicia.

(01:17:38) ze dirceu: nolivro Dr. jivago

(01:17:40) ze dirceu: es las?

(01:17:59) ze dirceu: ein Professor der mütterlichen Umdrehungen eine hauptsí¤chlich und der cruéisassassinos eine der Revolution.

(01:18:09) ze dirceu: es gab Lektion der künste für Kinder

(01:18:55) hugo chavez: es ist das suásticos lúcio und sein Fischen?

(01:19:00) ze dirceu: Ich bevorzuge den genuina Austausch zwischen gewissenhaftem und autonomas Verstand, das als irgendeine Relation dieses genero (auch denkendes atomisticamente), es hat Abstossung, Anziehung Friktion.

(01:19:05) ze dirceu: Ich mochte es cineminha

(01:19:09) ze dirceu: aber nao VI alles

(01:19:35) hugo chavez: folglich ist es

(01:19:38) ze dirceu: es estpa in pontal?

(01:19:42) hugo chavez: aber zurückkommend das concretude

(01:19:49) hugo chavez: es ist nicht folglich so einfach

(01:20:10) hugo chavez: was ich bin, attemped Form

(01:20:18) hugo chavez: es ist diese Idee des kulturellen alteridade

(01:20:33) hugo chavez: Ich glaubte genug diesem, als ich “Audiodigitales” unterrichten sollte

(01:20:33) ze dirceu: Summen

(01:20:42) hugo chavez: in den “Punkten der Kultur”

(01:20:50) hugo chavez: Art

(01:20:54) hugo chavez: es pairava in einer Luft

(01:21:02) hugo chavez: zur gleichen Zeit als ein Interesse

(01:21:06) hugo chavez: eine “Gleichgültigkeit”

(01:21:12) ze dirceu: von wem mit wem?

(01:21:15) hugo chavez: mit dem cartesianismo des Versuchs

(01:21:51) hugo chavez: von meinem Teil kann ich sagen daÃ?Ÿ von einigen canditos die “apprenticees” (die Senke, zum hervorzuheben daÃ?Ÿ nicht alle)

(01:22:06) hugo chavez: mindestens in der einige Versuche Grube

(01:22:32) hugo chavez: es scheint, da�Ÿ bereite Modelle sehr bestehen

(01:22:44) hugo chavez: von dem würde es diese “kulturelle Produktion” sein

(01:22:51) ze dirceu: von der Tatsache

(01:22:57) hugo chavez: e diese Idee der Ausrüstung

(01:23:00) ze dirceu: tí¤glich sind zahlen-hergestellte StraÃ?Ÿen

(01:23:03) hugo chavez: es erzeugt eine StreitSpirale

(01:23:09) hugo chavez: auf realativismos

(01:23:12) ze dirceu: Senke für das infovia

(01:23:23) hugo chavez: auch von den Leuten, zum zu finden, daÃ?Ÿ wir das Gepí¤ck pra haben, zum anzubieten

(01:23:31) hugo chavez: “kulturell”

(01:23:32) ze dirceu: e, das wir haben, zu wenig für uns selbst

(01:23:34) hugo chavez: andererseits

(01:23:35) ze dirceu: in einem verteile ich kleines

(01:23:39) hugo chavez: das kompliziertste e

(01:23:41) ze dirceu: wenn wachsen, es wuchs

(01:23:45) ze dirceu: wenn nicht, nicht

(01:23:45) hugo chavez: er ist qiue scheint anzuzeigen

(01:23:52) hugo chavez: daÃ?Ÿ wir Gepí¤ck “Technik” haben

(01:23:56) hugo chavez: e Methodenlehre

(01:24:04) ze dirceu: folglich finde ich, daÃ?Ÿ es gibt, um in einem zu sprechen “wir”, demgegenüber von dem sagten vc zurück in der Anmerkung

cardápio-brasil

(01:24:06) hugo chavez: es bearbeiten

(01:24:10) ze dirceu: in den minusculas für jedoch

(01:24:17) ze dirceu: maiusculas ist Ungewi�Ÿheit

(01:24:26) hugo chavez: das X der Frage

(01:24:32) hugo chavez: das ich cutuca als Alptraum

(01:24:35) ze dirceu: wir müssen palpavel vom etwaigen unterscheiden

(01:24:38) hugo chavez: dieses in etwas Brunnenzentrale

(01:24:43) hugo chavez: in unserem aproximção

(01:24:51) hugo chavez: die Idee des Discardings surtado

(01:24:55) ze dirceu: ja

(01:24:58) hugo chavez: in ‘ einer wilden “Welt

(01:25:01) ze dirceu: in den tropicos im Delirium sein

(01:25:13) hugo chavez: e dieses ist extrem levi-straussinano

(01:25:17) ze dirceu: ausgeschlachtet selbst, sein doppeltes, sein doppelganger

(01:25:19) ze dirceu: sein Farbton

(01:25:49) ze dirceu: folglich ist es, es nimmt, da�Ÿ diese Art des Streites mehr primeva ist wahr, mehr in den onthos?

(01:25:55) ze dirceu: anarco-ontismo

(01:26:00) ze dirceu: auf-anarquismo

(01:26:02) ze dirceu: Lachen

(01:26:29) ze dirceu: Ich glaube mehr Willen in der Debatte der deepenings, Ich mí¶chte nicht von den Taktiken der Zeitschrift der Woche wissen, ernst

(01:26:35) ze dirceu: Zurückkommen zu diesem Thema

(01:26:50) hugo chavez: Ich verstehe seinen Gesichtspunkt

(01:26:57) ze dirceu: Ich erreiche nicht, um auf dieses einzuwirken. genau, wenn ich einen Pfosten auf gegenwí¤rtigem politica bilde

(01:27:07) ze dirceu: vom Angela guadagnin und von den Schweinen z.B.

(01:27:33) ze dirceu: es hat immer eine Spannung zwischen Sollen und Aufgabe sein, ohne fetichista kantiano zu sein

(01:27:37) hugo chavez: aber andererseits es dieses in dieser Extremití¤t “der kulturellen” Idiosynkrasie, das Lokalisierung verursachen

(01:27:38) ze dirceu: denkendes socraticamente

(01:27:45) hugo chavez: es hat von, wenn es einen Kontaktpunkt sucht

(01:27:46) ze dirceu: blog?

(01:27:52) ze dirceu: er wird lokalisiert?

(01:27:57) ze dirceu: aufgesogen im Gedanken geworden?

(01:28:17) ze dirceu: Ich finde nicht

(01:28:18) hugo chavez: er wird nicht lokalisiert

(01:28:22) ze dirceu: Ich finde, da�Ÿ es respiros hat

(01:28:36) ze dirceu: Ich finde den, mindestens für mich, der Streit auf dem tatica midia war

depurative

(01:28:45) ze dirceu: mindestens in den Bezeichnungen, zum meines Papiers dort zu verstehen

(01:28:54) ze dirceu: ohne Papiere im Richtung literakl

(01:28:56) ze dirceu: offenbar

(01:29:01) hugo chavez: aber wenn in den vernáculos Delirien schlieÃ?Ÿen, í¤sthetisch oder metafí­scos, die es die Struktur in einer Art von schlieÃ?Ÿt, Automobil-beten Sie an

(01:29:12) ze dirceu: noch immer

(01:29:15) hugo chavez: was ich betrachten mí¶chte

(01:29:17) ze dirceu: es sie occam tá für issp dort

(01:29:22) hugo chavez: es ist, da�Ÿ wir von den Leuten umgeben werden

(01:29:23) ze dirceu: sie tí¶ten totem es

(01:29:28) ze dirceu: sie brechen totem es

(01:29:31) hugo chavez: mit wenigstens wichtigen Interessen

(01:29:36) ze dirceu: e irgendein kann kommentieren, genau ohne Register

(01:29:41) ze dirceu: Scheisse, wenn die Leute nicht verwenden

(01:29:50) ze dirceu: appositive, dem es mehr Seite-Ansichten hat, das kommentiert

(01:29:57) ze dirceu: tá geí¶ffnetes porra

(01:30:07) ze dirceu: offenbar mit Beschrí¤nkungen des Bedieners, né

(01:30:12) ze dirceu: “Freiheit”?

(01:30:20) ze dirceu: aber genau folglich, poeticamente, das es befreit

(01:30:27) ze dirceu: wí¤hrend es Raum im Band hat

(01:30:28) ze dirceu: rs

(01:30:40) hugo chavez: aber es geht, jede Zeit mehr Raum und Band zu haben

(01:30:47) ze dirceu: Exponentiation

(01:30:55) hugo chavez: falata sehr poco pra blog, zum zu sein in den Hí¤usern von, wem das O verwendet

(01:31:01) hugo chavez: die Frage ist nicht diese

(01:31:04) hugo chavez: sie ist ein anderes

(01:31:18) hugo chavez: die Frage ist für, wo diese DatenfluÃ?Ÿ

(01:31:21) hugo chavez: z.B.

(01:31:54) hugo chavez: wenn es von unserem Interesse… ist dieses unser Gesprí¤ch 100 kann gleichzeitig verí¶ffentlicht werden und übersetztes pra “blogs”

(01:31:56) hugo chavez: O.K.

(01:32:02) hugo chavez: ae, da�Ÿ es u lassos kommt

(01:32:02) ze dirceu: ja

(01:32:04) hugo chavez: es stí¶Ã?Ÿt aus

(01:32:08) hugo chavez: “100”

(01:32:14) hugo chavez: es ist eine unkontrollierbare Zahl

(01:32:24) ze dirceu: Gesprí¤ch 100 zurück mehr für 100, p.ehemalig.

(01:32:36) hugo chavez: platão jpa verbrauchte diese Geschichte der Republik und es balela ist eins

(01:32:49) hugo chavez: aber I, das zum Sagen von einer otra Sache zu Ihnen wünscht

(01:32:55) hugo chavez: da�Ÿ es wirklich ein Raum ist

(01:32:59) hugo chavez: fast geographisch

(01:33:10) hugo chavez: wo diese Informationen sein gehabtes Verhí¤ltnis haben

(01:33:18) hugo chavez: e verursacht den anwesenden Moment

(01:33:26) hugo chavez: sein offenbar:

(01:33:49) hugo chavez: lassen Sie uns sagen, daÃ?Ÿ dieses unsere folgenden Bewegungen wí¤hrend eines Jahres für exmplo formt

(01:33:55) hugo chavez: Leute und Plí¤tze, die wir gehen, zu wissen

dreizenlinder

(01:34:01) hugo chavez: Sachen, wo wir gehen zu glauben

(01:34:14) ze dirceu: bestimmte Kí¶rperWesen gehen, sich anzuziehen, andere, zum sich abzustoÃ?Ÿen

(01:34:24) ze dirceu: es hí¤ngt von der pro Stück benutzten Schablone der Seiten ab

(01:34:39) hugo chavez: von diesem Gesichtspunkt Sie haben ein interdepêndencia.; aber alle Woche ist die Gesamtmenge, die unterschiedlich ist von, wem kommentiert, was es in den fantastischen Sonntag überschritt

(01:35:04) ze dirceu: aber es ist fast gleich, nur zugetroffen in der Skala und im randomicamente

(01:35:13) ze dirceu: wir kommentieren 1000 fantasticos

(01:35:16) ze dirceu: gleichzeitig

(01:35:22) ze dirceu: ohne nie zurückzukommen eins nach dem anderen springen

(01:35:46) ze dirceu: Ich finde dieses ein Problem dem Informationen Ã?Å?berfluÃ?Ÿ

(01:35:58) ze dirceu: es wünschte eine Dosis der periodischen Desinformation

(01:36:06) ze dirceu: neues memoria haben

(01:36:11) ze dirceu: nur das Bios

(01:36:26) ze dirceu: e zur Last im RAM

(01:36:45) ze dirceu: es kam an, um an das zu denken, da�Ÿ Leutegurren, das wir mit hd bilden? von seinem Leben wann sterbend?

(01:36:53) ze dirceu: sie gehen, cremadas zusammen mit ihnen zu sein?

(01:37:14) hugo chavez: sterben?

(01:37:16) hugo chavez: hahahaha

(01:37:28) hugo chavez: diese í¤ltere Sache

(01:37:30) ze dirceu: das Problem und die Spannung, für mich sie laufen von informaçaõ das ab, das wir die Bosheit unseres transistion lassen

(01:38:06) ze dirceu: Drittel popperiano Welt. autonoma Informationen. in der Skala.

(01:38:13) ze dirceu: einige nennen es sngularidade

(01:38:21) ze dirceu: Gott?

(01:38:30) ze dirceu: clarke gesagt:

(01:38:40) ze dirceu: mí¶glicherweise ist die unica Funktion des Mannes, Gott herzustellen

cachaças

cachaças-austríacas

(01:39:14) ze dirceu: in fange mir es war wortwí¶rtlich an.

(01:39:59) ze dirceu: aber zurückkommend das concretude. die Flüsse sind wichtig, aber es hat sogar FluÃ?Ÿ in der Hí¶hle von lascaux und von rupestre kunst, herzlichst.(01:40:08) ze dirceu: folglichBIN ich mit dem anderer Meinung, das das f sagte. solanas

(01:41:21) ze dirceu: wenn es (und vc tb, es hat wenig), das “mehr von dem als zur gegebenen Anzeige gesagt wird, es ist wichtig, daÃ?Ÿ sie “flieÃ?Ÿen.

(01:41:30) ze dirceu: Ich finde, da�Ÿ sie jede Zeit mehr flie�Ÿen, stufenweise

01:42:09) ze dirceu: e dieses ist grundlegend. aber es ist nur Ã?Å?berbau. caixotinho noch Funktionen. das napoelão von hospicio tambem.

(01:44:29) ze dirceu: strukturell gehen die Sachen gut (wir gehen, eine Aufmerksamkeit zu den nastinesses von bots zu geben). aber ich finde daÃ?Ÿ, wenn wir wir selbst sind (und hat hier fetiche des Automobil-Konzeptes, ja), in jedem der dissonantes Teilnahme, das das Orchester bilden, wir brauchen nicht, wenn wir sie um Verbindungen uns sorgen, die wenn Unterseite auf einer angenommenen MaÃ?Ÿeinheit der Absichten (nie demonstriert, zu wenig für jedoch) und zu dem, die sie sind, authorizeed, um ohne eine existencial MaÃ?Ÿeinheit zu tun.

(01:44:51) ze dirceu: es ist wichtig, daÃ?Ÿ alle sich berühren

(01:46:20) ze dirceu: Ich glaube Ní¤he mit, was ich nicht nur weiÃ?Ÿ (im Fleisch und im Knochen, offenbar), aber es ist für mich offensichtlich, daÃ?Ÿ man in den grünen Senken spricht und das ist praktisch wichtiger von der als zu empunhar das gleiche Werkzeug und zu bradar die gleiche Phrase des Auftrages nachhallt

(01:46:37) ze dirceu: Ich finde, daÃ?Ÿ blog virtuelle Senken der guten Grüns sein kann.

(01:46:43) ze dirceu: lassen Sie uns von dem als dieses ehrgeiziger nicht sein

(01:46:58) hugo chavez: Ich finde, da�Ÿ blo alleine ein blog ist

(01:47:00) ze dirceu: daÃ?Ÿ die Technologie ein holt, um zu flieÃ?Ÿen natürlich, nicht verursacht

austria-caderno-branco

(01:47:02) hugo chavez: es ermangelt boteco

(01:47:13) hugo chavez: Sie des vollen Beutels des Computers

(01:47:24) ze dirceu: daÃ?Ÿ die programmar und die paxis nicht vorschreiben, WÂHREND die Informationen flieÃ?Ÿen müssen

(01:47:32) ze dirceu: L.E.R?

(01:47:59) hugo chavez: difernça ist, daÃ?Ÿ wir convidadados pra boteco seit dem Âsterreich bis das Dorf innerhalb Pará sind

(01:48:08) ze dirceu: schlieÃ?Ÿlich circulatório System entscheidet nicht Gleichungen noch compoe Gedichte. jedoch ist es der tópica Zustand, zum bleiben der Prozesse zu erlauben

(01:48:15) ze dirceu: ja

(01:48:32) hugo chavez: dann hat es das, zum von dem das zu sehen, das es zu diesem pagode so barilhento sagt, da�Ÿ es im qqer Platz ankommt

(01:48:41) hugo chavez: putz noch spricht im Messwert

(01:48:47) hugo chavez: Sie direful seiend die meine Hand

(01:49:03) ze dirceu: genau pagode oder lí¤Ã?Ÿt es ankommt in jedem mí¶glichem Platz laufen

(01:49:13) ze dirceu: bald es ist nicht die Weise, die mehr zí¤hlt

(01:49:16) hugo chavez: weil pagode ist, funktioniert antonimo von?

(01:49:23) ze dirceu: weil es gesunder Menschenverstand ist

(01:49:25) hugo chavez: dieses ist die zentrale Frage

(01:49:30) hugo chavez: nã nicht

(01:49:31) ze dirceu: e gesunder Menschenverstand ist übt im msn

(01:49:35) hugo chavez: Sie es kamen im X an

(01:49:40) ze dirceu: das Gesprí¤ch weit nehmen

(01:49:45) hugo chavez: es ist von dem das I tava, das zurück im Anfang spricht

(01:49:50) hugo chavez: auf alteridade

(01:50:03) hugo chavez: antonimo von pagode && funktioniert

(01:50:05) hugo chavez: es ist

(01:50:08) hugo chavez: (dieses)

(01:50:13) hugo chavez: dieses dieses I Sie prcurando

(01:50:18) hugo chavez: etwas, das noch nicht besteht

(01:50:21) ze dirceu: es funktioniert hat andere wir antonimos

(01:50:24) hugo chavez: da�Ÿ Sie hier zeichnend

(01:51:01) hugo chavez: aber es ist daÃ?Ÿ die Sache noch Sie in “etnocentrismo ausgedrückt”, “culturalismo” “Verrat”. “Peripherie”, “ocidente”

(01:51:09) hugo chavez: dieser Streit hat den, zum vorzurücken

(01:51:10) ze dirceu: La Traviatta Afoxé Version

(01:51:19) ze dirceu: Nordx Süd

(01:51:22) ze dirceu: e diese merdas

(01:51:32) ze dirceu: das Land ist Boot, Sie beten!

again-to-austria

(01:51:36) hugo chavez: es das hat, zum in einen Punkt hereinzukommen in dem die Gesichter, die, wenn verstehen Sie nicht diese Vermittlung mehr bení¶tigen

(01:51:48) hugo chavez: im Maximum eine Schnittstelle Sprache

(01:51:58) hugo chavez: aber genau folglich Musik zum Beispiel ja des Kontos von diesem

(01:52:01) ze dirceu: sie bení¶tigen nicht Marken Zeit, aber selten ist dieses joia

(01:52:15) ze dirceu: Ich habe experiencias gehabt, mit Fotographie zu interessieren

(01:52:19) ze dirceu: in diesem Punkt

(01:52:24) ze dirceu: vom Kontakt mit dem anderen

(01:52:29) ze dirceu: der Farbton

(01:52:38) ze dirceu: ist I es schattiert und es die Matrix?

(01:52:42) ze dirceu: aiaiaia

(01:52:56) hugo chavez: es?

(01:52:59) hugo chavez: es kommt von ihm an

(01:53:02) hugo chavez: von es

(01:53:04) hugo chavez: opa

(01:53:17) ze dirceu: Es ist ein Problem insoluvel

(01:53:21) hugo chavez: es ermangelt es

(01:53:26) hugo chavez: genau

(01:53:27) ze dirceu: weil alles mit dem consciencia von I beginnt

(01:53:36) hugo chavez: wir kommen zum valerie Solanas zurück!

(01:53:37) ze dirceu: bald ist es umproblema

(01:53:38) hugo chavez: hahahaha

(01:53:39) ze dirceu: Lachen

(01:53:45) ze dirceu: catei eine Phrase von ihr

(01:53:47) ze dirceu: es sah?

(01:53:49) ze dirceu: im Weizen fangen Sie auf

(01:53:51) hugo chavez: VI

(01:53:55) ze dirceu: wir gehen zu voll von den Phrasen, die der Weizen auffangen

(01:54:01) ze dirceu: zeichnen, sich versperren

(01:54:05) ze dirceu: um manancial

(01:54:12) ze dirceu: dissonante

(01:54:14) ze dirceu: nicht impprta

(01:54:43) ze dirceu: saci perere tá an einem einzigartigen Moment, in diesen wir ultimos Tage

(01:54:45) ze dirceu: t’amssa

(01:55:06) ze dirceu: das Aufruhr caiçara

(01:55:28) ze dirceu: die Insel der Post

(01:55:33) hugo chavez: er

(01:55:35) hugo chavez: poizé

(01:55:48) hugo chavez: gleichzeitig Sie Deutsches in diesem jabber ermangelnd

(01:55:52) hugo chavez: es sagt zu den deutschen ae
(01:54:12) ze dirceu: dissonante

(01:54:14) ze dirceu: nicht impprta

(01:54:43) ze dirceu: saci perere tá an einem einzigartigen Moment, in diesen wir ultimos Tage

(01:54:45) ze dirceu: t’amssa

(01:55:06) ze dirceu: das Aufruhr caiçara

(01:55:28) ze dirceu: die Insel der Post

(01:55:33) hugo chavez: er

(01:55:35) hugo chavez: poizé

(01:55:48) hugo chavez: gleichzeitig Sie Deutsches in diesem jabber ermangelnd


haider

(01:55:52) hugo chavez: es sagt zu den deutschen ae

eXsperando @rTchewsk-e

Se eu, bazar provendo quermesse, não os tivesse tirado do esquecimento a que os votavam lendas e lendas, seu centro estava ausente, seu janeiro além do contrôle, a salvo de incêndios, de todo destino isento. Quis al. Num raio de dois olhares, nenhum lençol de fantasma para serenar meu gôsto por êsse tipo de espetáculo.

Conjuga um sistema arreverso, cultiva tudo que lhe tanja, convida tudo que fôr angênico, miasma, escória, diferença, rebotalho, carência insubsistente, os gnomos de Prestesjoão a cair sôbre os pigmeus, petranhas edificantes. O revérbero toma a forma que o torna um dilema equilátero. O revérbero: sí­stole do ser, diástole já produta de si própria pelo outro.

Manter as últimas consequências dentro dos justos limites | Imparódias em falsete: o limite aonde tende o hiato deixado pelas elipses cuja razão de ser sua função já cumpriu a contentamento.

Atrás da orelha: o pulgatório entresai.
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p. leminski – catatau 1975

Theo-logical Videodrome

DANTEôS INFERNO: FROM 8TH CIRCLE WITH LOVE

SABBATHôS NIGHT FEVER

(if you dontôhave broadband, let downloads finish first – se você não tem banda larga espere os filmes carregarem completamente)

wocc do ikam – o futuro

ufo112

Wocc do Ikam – o futuro do organismo
login> occam
senha>fe9f3b1
Flua por mais este tecido!

1. organismo – 76.39 reais. quantos/quem divide? voluntários avisar pela lista leminski para calcular fração per capita (per caspite?) – Colaboradores sejam bem vindos em hospedar dados no servidor ( dentro do espaço possí­vel).
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24/01-23-23hs– É interessante que os colaboradores recebam uma explicação sobre como funcionam os seguintes itens: limites periódicos (ou máximos) de upload de fotos/dados, taxa de transporte de dados (é 76 pila porque é, ou porque está?). Vamos raciocinar. Já que agora o pagamento se organizou, há outras opções de servidor, de banda, de storage? Quem tiver dados CONCRETOS sobre opções, diga ao Occam.

E será que não é o caso de fazermos um mutirão nas pastas e filtrarmos fotos em duplicidade, mencionadas por Glerm. É comum fazer upload de mais de uma versão de uma foto, mas postar uma só. Como eventualmente apagar dados com a certeza de não “arrebentar” posts antigos?
——————————————-
26/01-16-20hs De que forma o arquio de imagens do blog pode ser acessado para pesquiza e reutilização?
—————————————————–
Boleto está colado na lista leminski. colaboradores aguardados. Vamos tentar manter esse espaço sem publicidade e sem ser cooptado por instituições.
——————-
Apoiado! Libertas!
—————

2. futuro do blog em site specific ( espaço fí­sico e humano levado em conta, e levando ação para campos além da internet). até onde dá para ir com a estruturação atual? o que ganha – estruturalmente – antecipando a travessia do Rio Jordão, qual seja, a mudança do blog para o site specific?
Resolução 1 – Acredito que a melhor maneira de utilizar um espaço é criando um ” núcleo de produção” num espaço fí­sico conectado na internet, onde a rede local possui um acervo que pode ser usado nas performances.
————————————————————————
25/01-23;30 – É ruim para o blog se a rede local a ser usada nas performances seja sempre montada e desmontada para instalações em outros locais. Se é para performance, beleza, mas in loco. A metarecilagem que nos dê a possibilidade de estar em mais de um lugar ao mesmo tempo. Não acho bom que o blog fique saindo do ar. Um visitante que veja o site “forbidden” ou offline, pode não voltar. Bad, Flipper.
———————————————————————-
Resolução 2 – Acredito que essa ação pode ser melhor planejada, pois precipitada pode gerar gastos mal-calculados onde se desperdiça energia que poderia incubar este módulo com recursos que já temos ( conexões, máquinas e espaços privados) possibilitando a realização deste objetivo num prazo mais maduro e com resultados mais objetivados. ( Problemática de mudar-se para o local – considerando disposição de Glerm e Simone – sentindo-se pressionados por decisão eufórica).
——————————————————————
25/01-23:30As decisões eufóricas são sempre as melhores! Teoria do risco-proveito. A questão que sobressai, claro, é o dilema dos conflitos público-privado. Aguardar pode ser mais interessante . Pode sugir outra idéia. Vamos farejar.
—————————————————————-

3. ONGanismo. cientistas+artistas e artistas+cientistas:
Sustentabilidade: Digitalização e suporte para recombinação de acervos como suporte para captação de recursos, licenciando-os em formatos “colaborativos” de distribuição.
——————————-
25/01-2330hs – vamos começar com a recuperação dos acervos públicos do paraná de nossas próprias casas, no blog. Vai nos dar cancha e, mais importante, auto-justificação formal.
———————————————
Trabalhar com software livre em todos estes processos, sustentando um ciclo de desenvolvimento de ferramentas que pode expandir-se como cenário cultural.
troca de experiencia performática e plástica com técnicas tecnológicas de construção de significado e forma e/ou articulação de circuitos autônomos. Metarreciclagem para uso em processos dedicados a performace, digitalização e comunicação em rede.
—————————————————
25/01-23hs- performances open source como princí­pio (performances, atos públicos, instalações), mais do que emperrar processos com deficiências eventuais não controláveis. A mensagem não pode esperar 6 meses para que um programador de Bombaim conserte nosso veí­culo
—————————————————
– Ação colaborativa, registrada e recombinante por essência. estí­mulo a um cenário cultural onde se articula em circuitos colaborativos, com ciclos mais amplos, que vão do cientista- pesquisador ao artista-produtor cultural.

Corte Raso

navalha-occam

Navalha na liga

(Itamar Assumpção e Alice Ruiz)

Nada pode tudo na vida.

Por que toda estrela pisca no céu
E o cometa risca?

Por que você não se arrisca, meu bem
E vem, belisca e petisca?
Por que teu beijo faí­sca?

Valha navalha na liga
Nada na barriga
Valha navalha

Não se escandalize, não
Tudo isso a gente pensa
Quando entra em transe
Quando sai da crise

Vou dizer não, não, não, não, não, não
Tantas vezes até formar um nome
Até formar seu nome

Valha navalha na liga/nada pode tudo na vida

Falta de sorte
Fui me corrigir
Errei

+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++

O Macaco e a Viola
Um dia o macaco foi í  casa dum barbeiro fazer a barba. No momento de fazer a barba, o barbeiro cortou-lhe um pedaço do seu rabo.

– Me dá o pedaço do meu rabo, disse-lhe o macaco, ou eu te tomo a navalha.

O barbeiro recusou e o macaco tomou-lhe a navalha e fugiu.

Indo por um caminho, encontrou uma mulher escamando peixe com um pedaço de pau.

– Toma, aí­ tens uma faca para escamar o peixe, disse-lhe e deu-lhe a navalha.

Passado alguns dias voltou e pediu de volta a navalha.

– Não a tenho mais, disse a mulher, escondendo a navalha.

– Me dá a navalha de volta ou te tomo uma sardinha.

A mulher não cedeu e o Macaco tomou-lhe uma sardinha e fugiu. No caminho, avistou um padeiro comendo pão seco í  porta da padaria.

– Toma, aí­ tens um peixe, disse-lhe e deu-lhe a sardinha.

Depois de algum tempo voltou e reclamou a sua sardinha.

– Comi-a, respondeu o padeiro.

– Se não me deres a sardinha eu te tomo um barril de farinha, disse-lhe.

O padeiro não cedeu e o macaco tomou-lhe um barril de farinha e fugiu. No caminho, encontrou uma escola de meninas. Disse í  professora:

– Toma esta farinha; fazei bolos para as vossas meninas, e lhe deu o barril.

Voltando depois de certo tempo, reclamou seu barril.

– Não o tenho mais, respondeu a professora; fiz bolos para as meninas.

– Me dá a minha farinha ou eu carrego a mais bonita menina da escola.

A professora não cedeu e ele pegou uma das meninas e fugiu. No caminho encontrou uma lavadeira que estava sozinha lavando a roupa. Disse-lhe:

– Toma, aí­ tens uma menina para ajudar-te. E deixou a menina.

Algum tempo depois, voltou e reclamou a menina. A lavadeira escondeu a menina atrás duma árvore e respondeu:

– A menina! Não tenho mais: ela afogou-se no rio.

– Me dá a menina ou eu te tomo uma camisa.

A lavadeira não deu e ele tomou uma camisa de homem e fugiu. No caminho, encontrou um fabricante de instrumentos musicais, trabalhando em sua loja, sozinho e amarrotado. Disse-lhe:

– Aqui tens uma camisa nova, e lhe deu a camisa.

Algum tempo depois voltou e reclamou a camisa.

– Não posso devolvê-la, ela está toda rasgada.

– Me dá a minha camisa ou te tomo uma viola.

O violeiro não deu a camisa e o Macaco tomou-lhe uma viola e fugiu.

Subiu com sua viola ao teto da casa e se pôs a cantar:

Do meu rabo, fiz navalha;
Da navalha, fiz sardinha;
Da sardinha, fiz farinha;
Da farinha, fiz menina;
Da menina, fiz viola;
Dum! Dum! Dum!
Vou-me embora!

Jangada Brasil

To noodle or not to noodle

– Para ser apresentado em galerias de Kopenhagen e Los Angeles:

O bit de Levi Strauss em Athenas ou Ser ou Não o Prí­ncipe da Dinamarca em Bollywood…

Salvio amarrado em fita crepe representando o glossário. a lingugem como marcação brechtiana.

algoritmo orgânico da interação elétrica sinaptica…

Knife Ní¤if web_Site Specific em ação

DO IT:

Site Specific Action through the errant bodies ( body as language – body as home )

1. Rent a loft in kopenhagen and/or los angeles.
2. buy some burritos.
3. Invite Salvio ( the adhesive-tape-man )
4. Let Salvio Invite some artists to generate actions…
5. Local Artist invite relatives & friends …
6. Mark spaces and bodies with adhesive tape.
7. Buy some goiabas & pineapples
8. Bake some potatoes
9. Invite more friends to be “noddled” with adhesive tape ( ” fita creepers” )

Salvio divinorum.